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Maroc:Hosni Benslimane le général le plus haut gradé de la corruption au royaume enchanté et Youtube !

7022009

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Maroc: !! Overdose !!

6022009

Maroc: !! Overdose !! dans La face cachée 1233963239_Overdose

Overdose ou surdose est un coma par surdosage qui peut entraîner la mort et dont les symptômes varient suivant le produit utilisé, dépresseur ou stimulant :exp: makhzen,corruption,injustice, police,gendarmerie,répression,Benslimane,Benmoussa, Laânigri, etc……….




Maroc:le doberman Chakib Benmoussa destitue le maire PJD de Meknès, Aboubakr Belkora, pour non corruption

4022009

Maroc:le doberman Chakib Benmoussa destitue le maire PJD de Meknès, Aboubakr Belkora, pour non corruption dans La face cachée 1233738636_Copie%20de%201MAIRE%20MEKHNESS%20

  le makhzen ne veut pas de non-corrompus dans son administration… 

 




Maroc:La corruption de la gendarmerie royale

5012009

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La vidéo présentée ici n’est qu’un exemple d’un phénomène qui alimente les plus grands maux du royaume enchanté.

Les poubelles du général Hosni Benslimane présentent un grand danger public.




Maroc: La route tue

25122008

Maroc: La route tue dans La face cachée 1230189149_fassi%20%20autruche

Le gouvernement corrompu se mobilise

Les chiffres sont accablants. La route tue, au Maroc, et tue beaucoup : 3 838 morts en 2007 et une hausse de 11,69% au cours des neuf premiers mois de 2008. Un triste constat pour le gouvernement qui entend lutter énergiquement contre cette calamité. « Le fléau des accidents de la circulation constitue un danger majeur pour la santé publique dont les conséquences aussi bien économiques que sociales sont désastreuses », déplore le Comité national de prévention des accidents de la circulation (CNPAC, public).

A titre de comparaison, « le véhicule au Maroc tue 13,5 fois plus qu’en France, 18,2 fois plus qu’en Suède ». Piètre consolation, les autres pays du Maghreb arabe (Algérie, Libye, Mauritanie et Tunisie) « présentent un niveau quasiment similaire en terme de risque ». Pays d’un peu plus de 30 millions d’habitants, le royaume compte un parc automobile estimé à 2,5 millions de véhicules, 35 661 km de routes bitumées et des autoroutes qui permettent d’aller de Tanger (nord) à Marrakech, bientôt (2010) à Agadir (sud) et à Oujda (nord-est, 2011).

Vitesse et non-respect du code de la route Le coût socio-économique des accidents de la circulation est énorme : 11 milliards de dirhams (environ 1 milliard d’euros) par an, l’équivalent de 2% du PIB du pays, souligne le ministre de l’Équipement et des Transports Karim Ghellab. Selon lui, les causes premières des accidents sont la vitesse et le non respect du code de la route. 70% des accidents sont dus à un mauvais comportement du conducteur, 20% à l’état des véhicules et 10% aux infrastructures, précise-t-il.

Quelques kilomètres au volant d’une voiture sur les routes marocaines suffisent à se faire une idée de l’anarchie ambiante: animaux en semi-liberté sur les bas-côtés, vendeurs ambulants sur les autoroutes, cyclistes à contre-sens, éclairage des véhicules défaillant ou inexistant, camions surchargés, vitesse excessive, non respect des distances de sécurité, etc…

Des plans d’urgence

Pour lutter contre cette situation dramatique, le gouvernement marocain a dès 2004 lancé des plans de trois ans, dits « programmes stratégiques intégrés d’urgence » (PSIU). Selon Karim Ghellab, le premier PSIU a « permis de stabiliser les chiffres de l’insécurité routière et de rompre avec la tendance à la croissance » du nombre de victimes enregistrée au cours des dix précédentes années. Et ce, malgré une augmentation significative du parc automobile.

En 2008, pourtant, les chiffres repartent à la hausse, avec une augmentation du nombre de victimes « extrêmement importante, de l’ordre de 10% », confirme le ministre. Pour inverser cette courbe, le gouvernement attend beaucoup d’un nouveau code de la route en discussion au Parlement, d’un renforcement des contrôles routiers, de visites techniques plus rigoureuses, de l’installation de radar fixes et mobiles, ainsi que d’une réforme de l’examen du permis de conduire destinée à interdire fraude et corruption.

DNA




Maroc:L’Intifada à la chaussure

25122008

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devant le parlement symbole de la corruption marocaine.




Maroc:corruption généralisé….misère généralisé

24122008

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La corruption est devenue le ciment politique du makhzen, si on arrête la corruption, qui va défendre le régime.




Maroc :Les prisons marocaines ne valent pas mieux que Guantanamo

19112008

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Les prisons du Maroc de Mohammed VI sont aussi peu accueillantes que les bagnes de Hassan II. Témoignages accablants recueillis par l’association Attac-Maroc.

On connaissait la prison noire de Laayoune, au Sahara occidental, où s’entassent dans des conditions ignobles des sympathisants du mouvement séparatiste du Front Polisario. On connaissait aussi le centre de la DST de la ville de Temara qui, au lendemain des attentats de Casablanca du 16 mai 2003, a servi d’usine à torture contre des terroristes islamistes présumés souvent raflés au pif. Et maintenant, on connaît la prison d’Inezgane, dans la région du Souss, où sont embastillés des hommes et des femmes qui ont eu le tort de participer aux violentes manifestations de Sidi Ifni, en août dernier.

Cette ville côtière de 20 000 habitants du Sud du Maroc a connu les 7 et 8 juin 2008, puis les 18 et 19 août 2008 deux vagues de répression violente destinées à mater un mouvement social qui revendique une réelle politique de développement de la région ainsi qu’une extension et une amélioration des services publics.

Quatre de ces manifestants, dont deux militants de l’association Attac-Maroc, ont écrit une longue lettre où ils racontent leurs conditions de détention dignes du Moyen-Age. Ce courrier s’inscrit dans une campagne de communication d’Attac-Maroc, qui réclame « la libération des prisonniers d’Ifni ». Elle intervient au moment où le Makhzen marocain se gargarise de l’obtention d’un « statut avancé » avec l’Union Européenne. Une honte pour le royaume pas vraiment enchanté de Mohammed VI.

Bakchich reproduit dans son intégralité la lettre en date du 21 octobre 2008 des quatre détenus de la prison d’Inezgane qui ont eu le courage de témoigner.

De la prison d’Inezgane, nous vous adressons nos salutations militantes

Notre maintien en prison est la preuve flagrante de la démagogie qui se cache derrière le nouveau concept du pouvoir et le slogan de « l’ère nouvelle » [1]. Tout le bavardage et les applaudissements qui célèbrent la soi-disant amélioration des institutions pénitentiaires et de leur rôle éducatif et correctif ne sont que discours creux et mensonges, au regard de ce que vivent les détenus politiques et de droit commun dans la prison d’Inezgane.

En ce qui concerne les cellules, il y en a de deux sortes :

— Les cellules de l’ancien quartier appelé « caserne ». Au nombre de 7, elles ont une surface de 6mx8m avec à l’intérieur une latrine et une douche d’1m chacune et un bat-flanc près de la porte que nous utilisons comme cuisine où nous posons un réchaud électrique sur lequel les prisonniers préparent leur repas. Cela signifie qu’il ne reste pour les prisonniers — dont le nombre atteint 86 par cellule — que 40m. Les prisonniers sont donc obligés de rester recroquevillés toute la journée (20h/24) ce qui provoque des douleurs dans les articulations, surtout celles des genoux. La sortie dans la cour ne dure que 2 heures le matin, de 9h à 11h, et 2h l’après-midi, de 14h30 à 16h30.

— Les cellules du nouveau quartier, appelé « quartier », ont une surface de 7mx5m avec une latrine d’1m. 68 prisonniers y sont entassés.

— Il y a aussi une autre cellule qui n’a d’infirmerie que le nom, où 16 lits superposés sont alignés sur 24m… et où sont regroupés 28 prisonniers diabétiques, asthmatiques, tuberculeux, sous dialyse, atteints de rhumatisme ou du sida.

— Le quartier des mineurs, appelé « Pipi » comprend 6 cellules de moins de 35 m où sont entassés plus de 400 prisonniers de 5 à 17 ans !!

— Une cellule est réservée aux homosexuels, fermée par une porte en fer et disposant d’une petite fenêtre grillagée : elle ressemble à un cachot et se trouve effectivement près de 3 autres cachots qui sont des cellules sans ouvertures où l’on enferme les prisonniers que l’administration punit parce qu’ils n’ont pas obéi ou selon l’humeur du personnel administratif ou son désir de vengeance. C’est ce qui est arrivé au détenu politique Mohamed Hafid Iazza. Les pensionnaires de ces trois cachots et de la cellule pour homosexuels sont perpétuellement en bute à des insultes, des provocations, des moqueries et des humiliations de la part des gardiens et des autres détenus.

— Il y a aussi une autre cellule pour les fous et les malades mentaux qui se trouve elle aussi près des cachots. Ils sont au nombre de 40.

— Enfin, il y a le quartier des femmes qui seraient au nombre de 45, réparties en deux cellules plus une autre réservée aux femmes enceintes.

— Il y a 4 blocs de douches d’eau froide, disposant chacune de 6 pommeaux, ce qui est totalement insuffisant, ce qui pousse les détenus soit à prendre la douche froide dans les cellules soit à ne pas en prendre du tout. Il y a donc environ 1 400 prisonniers pour les 4 blocs de douches qui ne sont utilisables que pendant une heure de temps lors de la sortie à la cour. La majorité des prisonniers souffre de maladies de la peau, conséquence de la transpiration, du manque de douche, d’hygiène et des infections.

La prison d’Inezgane est connue pour être l’une des pires du Maroc. Il n’y a pas un seul médecin malgré la situation sanitaire déplorable des détenus. Ainsi, Hassan Talbi est parvenu à une situation critique du fait de la négligence de l’administration pénitentiaire. Un médecin, rattaché à la prison d’Aït Melloul vient une fois par semaine, bénévolement, le mercredi.

Cette situation remet en question les propos du ministre de la Santé, Yasmina Baddou, qui prétend que son ministère a déployé des efforts en faveur de la santé pénitentiaire alors qu’une prison de 1 400 détenus ne dispose même pas d’un médecin !

Face à la propagation des maladies et à l’absence de soins, l’hospitalisation est affaire de relations et de corruption. Il en est de même pour les visites, l’accès aux cuisines ou à l’économat. Il n’y a pas de bibliothèque ni de terrain de sport, ni d’activité de loisirs. La vie des prisonniers se limite à manger et à dormir et à la consommation de drogues qui sont vendues librement et en quantité sous les yeux des responsable, du fait de la présence d’un baron de la drogue qui monopolise ce commerce dans la prison. Comme ont dit, créer le besoin crée l’offre et la demande et le sureffectif des prisonniers constitue un marché propice à toutes sortes de commerces qui commencent avec le « chef de chambre » et finit par l’administration : les prix de la place dans une cellule varient selon le quartier et l’emplacement dans la cellule.

Le quotidien de la vie du prisonnier c’est la répression, l’injustice, les pires formes de discrimination. La loi qui règne à la prison d’Inezgane est la loi du plus fort et du plus violent.

C’est dans cet enfer de la prison d’Inezgane que sont placés les prisonniers politiques. D’autres rapports détaillés suivront qui concerneront les différents « services » de la prison pour dévoiler l’ampleur de la sauvagerie qui règne dans la prison et illustre ce qu’est « la nouvelle ère ». Cette sinistre réalité nous pousse à lutter davantage. Nos bourreaux oublient que le fait de nous éloigner de nos camarades et de nos familles ne fait que renforcer davantage notre amour pour notre terre et pour nos familles, davantage notre conviction de la justesse de notre cause et de la légitimité de nos idées et de nos principes.

Nos salutations à tous les camarades et militants dans le combat, malgré la répression et les souffrances. Nous vaincrons.

Signataires

BARA Brahim, numéro d’écrou 81101

AGHARBI Hassan, numéro d’écrou 81934

RIFI Zakaria, numéro d’écrou 82034

OUHADANI Mohamed numéro d’écrou 80932

Ici




Maroc :Les incompétents et les corrompus

16112008

http://www.dailymotion.com/video/k1WnxgZIUt3z2kQgoP

Un pouvoir corrompu ne vit/existe que par la corruption et rien d’autre…..




Maroc: La corruption au royaume enchanté

24092008

La corruption au Maroc a encore de beaux jours devant elle. Selon le nouveau classement de l’ONG Transparency International, rendu public mardi, notre pays occupe le 80e rang avec note de 3,5 sur l’indice de perception de la corruption de TI, soit une chute de huit places par rapport à 2007.

En 2006, le Maroc était classé 79e. Un retour logique à la case départ tant les affaires de détournements des deniers publics et des biens immobiliers sont légion.







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