8 réponses à “Maroc : Sale temps pour les dictateurs !…. Dégage !”
19022011
zina (22:55:06) :
Manifestations au Maroc : « ce mouvement pacifique est la seule voie qui nous reste »
Alors que l’opposition a appelé à participer dimanche à une manifestation en faveur d’une « large réforme politique » dans plusieurs villes du Maroc, Abdellah Hammoudi, professeur d’anthropologie à l’Université de Princeton, explique pourquoi il soutient ce mouvement.
il faut bien constater que les réalités de ce pays contredisent les discours lénifiants que certains milieux marocains et non-marocains tentent de faire accréditer dans l’opinion publique. On pourrait citer une longue liste de problèmes. Parmi eux : une pauvreté rampante dans de très larges couches de la population, l’absence d’emploi pour un cinquième (ou un quart ?) de la population jeune en âge de travailler, l’énorme proportion des illettrés après plus d’un demi-siècle d’indépendance, le chômage et la démoralisation des diplômes, et le manque de perspectives pour la masse des scolarisés et des jeunes, enfin les inégalités exceptionnellement fortes et choquantes entre riches et pauvres. Je m’en tiendrai là pour ne pas lasser les lecteurs.
Tous les marocains appellent à la réforme de la Constitution, la démission de l’actuel gouvernement, la dissolution du Parlement, la lutte contre la corruption, la libération des détenus politiques, la fin de la censure et de la «bénalisation» de l’économie marocaine (117e rang mondial) et veulent, in fine, une monarchie constitutionnelle comme celle en Espagne, la séparation réelle des pouvoirs, une redéfinition des prérogatives de la monarchie et le vote au suffrage universel d’un Premier ministre avec toutes les prérogatives pour choisir ses ministres. Sûrs du bien-fondé de leurs revendications, ils promettent de ne pas baisser les bras «jusqu’à la satisfaction de nos revendications». Parmi celles-ci, la démission du gouvernement et la dissolution du Parlement. «C’est le seuil minimum que nous accepterons», affirme Oussama El-Khlifi, un des membres du Mouvement des jeunes du 20 Février, mettant en garde «contre toutes les tentatives de provocation». Aux dernières nouvelles, la Jeunesse d’Al Adl wal Ihsane (Justice et Bienfaisance), le mouvement islamiste interdit mais toléré, serait de la partie avec ses «30.000 à 40.000 adhérents».
Face à cette détermination, le Palais retient son souffle et prépare ses troupes. Le Roi exclut tout rôle au prince rebelle et cousin germain d’Al-Walid bin Talal d’Arabie Saoudite, dans une éventuelle transition. Même si personne ou presque ne remet en cause son trône, Mohammed VI a cru bon de consulter son ami Sarkozy sur la manière de gérer cette crise annoncée et de commander du matériel antiémeutes à Israël. Selon le journaliste opposant Ali Lmrabet, Rabat a commandé récemment du matériel antiémeute à l’Etat hébreu. Ce matériel aurait été acheminé par mer à bord de deux cargos de transport de troupes C130, et a été réceptionné il y a une dizaine de jours à l’aéroport militaire de Ben Slimane
momo le poulpe a revelé sa decheance et il en fait des cauchemares toutes les nuits, il a descendu dans la boite qui marque sa fin, momo va perdre ses plumes à partir de ce 20
momo n’est plus commandeur des croyants même pour les fourmis
momo n’est plus roi du maroc du moins dans les esprits
momo a perdu toutes ses cartes malgré le culte de personalité à coup de milliards pour lui ravaler la façade
momo est un dictateur bien classé parmi d’autres des pays arabes
momo commence une nouvelle ère ou son regner sur le maroc est une honte et un deshonneur puisque son le systeme est pourri et la pourriture commence par momo pour descendre du haut en bas
momo degage n’est plus un tabou pour les marocains
momo = zin el abidine = mobarak = kadafi = bouteflika= assad= les autres dictateurs arabes
la seule difference avec eux c’est que momo est le plus bas dans la communication le plus fortuné et le plus cher au peuple
imaginez le clan des alaouites des centaines de palais, rien que les phosphates apportent aux alaouites 3 milliards de dollars chaque années, les mineraies des milliards
momo est 100 fois riche que benali ou mobarak et les marocains le savent en pus le caln des alaouites se compte en centaines d’individus qu’ils se nomment prince et princesse du vol surtout et du pillage du maroc
si le pire arrive, momo va sans doute prendre ses dispositions pour mettre ses fortunes en israel, il va tirer les consequences du drame benali
Les participants qui se sont regroupés vers 9 H 30 mn à la place du 16 Aout , se sont dirigés par la suite au siège de la wilaya de l’oriental et ont scandé des slogans de justice sociale, d’équité politique :; « les jeunes veulent travailler » ; « pour un partage équitable des richesses du pays » « Le peuple veut le changement » ; « oui pour la dignité et la liberté » ; « non pour l’humiliation » « Pour de bons services en santé, en enseignement et en habitats » « pour un état de droit , d’égalité et de dignité » « à bas le Makhzen » …
Plusieurs milliers de Marocains manifestaient dimanche à Casablanca et Rabat et d autres villes pour réclamer des réformes politiques et une limitation des pouvoirs du roi, premier mouvement de ce type dans le pays depuis le début des révoltes qui secouent le monde arabe.
des milliers de personnes étaient rassemblées dans le centre de Casablanca, principale ville du pays, certains scandant: « liberté, dignité, justice »,
Des banderoles proclamaient: « Le roi doit régner et non gouverner » ou « Le peuple veut une nouvelle Constitution », tandis que des groupes de gauche demandaient « moins de pouvoirs à la monarchie ».
A Rabat, 4.000 personnes, – 7.000 selon l’un des organisateurs – manifestaient en scandant: « le peuple veut le changement ».
Aucun incident n’avait été signalé dans les deux villes en fin de matinée.
Encombrant ralliement des islamistes
Dans la foulée des événements de Tunisie et d’Egypte, de jeunes Marocains avaient lancé sur Facebook le mouvement « du 20 février », appelant à manifester pacifiquement pour réclamer une nouvelle Constitution limitant les pouvoirs du roi et plus de justice sociale. L’appel a rapidement rassemblé des milliers de sympathisants.
Mais, à la veille de la manifestation, l’un des jeunes à l’origine de l’appel et deux autres signataires ont annoncé leur retrait, évoquant des divergences « idéologiques » avec une formation islamiste et des groupes de gauche.
L’organisation de la jeunesse du mouvement islamiste Justice et bienfaisance a appelé elle aussi à manifester « pacifiquement » dimanche. Ce mouvement, interdit mais toléré, est considéré comme « l’un des plus importants du Maroc ». L’appel à manifester a été appuyé par des ONG comme l’Association marocaine des droits humains (AMDH) et des journalistes indépendants, appelant à « l’adoption d’une Constitution démocratique ».
Les principaux partis politiques marocains dont l’Istiqlal (du Premier ministre Abbas El Fassi) se sont en revanche prononcés contre l’appel.
COMMENT NE PAS MANIFESTER,,ET COMMENT EST CE MAROC DE MOMO6……LA MENDICITE PREND EMPLEUR PARTOUT…AU MAROC ENCHANTE DE CE ROI ET SON MAKHZEN
pareille heure de la journée, Malika et Latifa attirent les passants. Les deux quadragénaires abordent une discussion houleuse en usant d’un vocabulaire ordurier devenu habituel chez les
usagers du passage Glaoui au boulevard Mohammed V à Casablanca. Seuls quelques passants avertis comprennent ce qui passe. Les curieux ne peuvent s’empêcher d’intervenir pour les séparer. Mais les deux femmes ne tardent à se prendre par les cheveux. Munies d’une lame de rasoir, Latifa menace Malika de lui taillader le visage si elle ne lui verse pas son dû. De quoi s’agit-il exactement ? Personne ne peut trancher, sauf les marchands à la sauvette qui occupent en masse les lieux.
D’après l’un d’eux, «c’est toujours comme ça avec les fournisseurs de Malika qu’elle refuse de payer. A chaque fois, elle trouve un prétexte pour renégocier le prix.» Obsédée par l’idée que Malika veut l’arnaquer, Latifa refuse de la laisser partir en dépit des efforts des passants. Menacée de l’arrivée de la police par quelques-uns, cette femme robuste ne montre aucune inquiétude. La prison ne lui fait pas peur. «En plus, les policiers me connaissent très bien. Je ne suis pas une femme à problèmes. C’est elle l’arnaqueuse qui ne veut pas me payer 3 jours de loyer. Elle le fait avec tout le monde», poursuit-elle. De quel loyer parle-t-elle ? «Elle lui a loué un enfant qu’elle a payé préalablement à sa mère pour trois jours. Elle est venue récupérer le loyer mais elle refuse de lui verser son argent», explique un marchand ambulant.
Quelques minutes suffisent pour que Malika cède devant les menaces de Latifa. Elle jette par terre une somme d’argent. Latifa se précipite pour les ramasser. Elle n’en prend que son dû et rend à sa cliente la monnaie. Elle ne tarde pas à quitter les lieux vers le passage Sumica où les autres mendiantes la rejoignent. La réunion du chef du district ne durera que quelques minutes, juste le temps de récupérer le loyer, avant de leur donner rendez-vous au Boulevard Mustapha Maâni le soir même à 21 heures.
Délaissée, Malika rassemble ses forces pour reprendre le travail. Coléreuse, elle se met à battre l’enfant assis à côté d’elle. Elle ne le fait pas pour se venger de Latifa, mais pour attirer l’attention des passants. Une manœuvre très usitée par les mendiants qui utilisent des « enfants accessoires » comme appât pour s’attirer la pitié des passants.
L’astuce est très rentable car les gens n’aiment pas voir un enfant pleurer. C’est pourquoi, les âmes charitables sont toujours prêtes à verser parfois des billets de 20 à 100 DH pour que la femme renonce à son acte inhumain. Un chantage devenu fréquent chez certains mendiants professionnels qui usent de tous les moyens pour avoir la pitié des gens. Malika loue cet enfant depuis plus d’un mois. Elle refuse de le changer car il est à ses yeux porte-bonheur. Une conviction qui lui coûte de plus en plus cher. Avertis par des indics installés sur place, Latifa, principal fournisseur d’enfants aux mendiants de ce quartier de la ville, réclame à sa cliente un loyer trop élevé. Chaque jour, Malika doit lui verser 250 DH pour pouvoir garder l’enfant. «Un prix fort pour un enfant mal nourri qui n’inspire que peu la pitié des gens.
Avec un enfant plus joli et surtout bien entretenu, j’aurais gagné plus. Mais ce garçon me porte bonheur.», précise Malika. Et d’ajouter : «Latifa est une prostituée. Elle n’a de pitié pour personne. Je lui ai juste demandé de baisser un peu le loyer de l’enfant, car je suis obligée de le nourrir chaque jour. Et voilà le résultat. Elle a failli me balafrer le visage. Heureusement que je vends aussi des cigarettes pour augmenter ma recette quotidienne». Combien gagne-t-elle par jour ? Impossible de lui tirer les vers du nez. «Louange à Dieu tout puissant. Il me reste de quoi vivre le reste de la journée et payer le loyer de la chambre que j’occupe avec une autre mendiante», ricane-t-elle. Selon le propriétaire de la crémerie en face, «Malika est la moins chanceuse de tous les mendiants de la zone. Elle vient chaque jour échanger des pièces contre des billets. Sa recette dépasse les 600 DH jour. Il y a un vieux mendiant qui exploite un enfant handicapé pour gagner parfois plus de 1000 DH par jour». Une recette importante d’un métier jamais frappé par la crise que plusieurs spéculateurs se partagent. La mère de l’enfant n’a droit qu’à une petite part entre 80 et 320 DH dans les jours ordinaires.
«Un loyer quoi double pendant l’été et les occasions religieuses vu la tendance des gens à faire de la charité. La pénurie des enfants fait augmenter parfois leur prix, notamment en hiver. Les enfants les plus sollicités sont les handicapés, les plus beaux et les bébés», précise un associatif.
«Les moins de 12 ans sont utilisés dans d’autres formes de mendicité : la vente de chewing-gum et de kleenex dans les cafés et les ronds-points. Certains les utilisent dans d’autres deals, tel le nettoyage des vitres de voitures. Le cas le plus spectaculaire est celui de ce colosse qui effraie les femmes au feu rouge de l’axe entre la rue de Sebta et le Boulevard Zerktouni pour leur soustraire de force quelques dirhams.
Pour sa sale besogne, il utilise un enfant en bas âge, qu’il n’hésite pas à malmener, pendant tous le mois du Ramadan et à la veille des fêtes, histoire de soustraire plus d’argent aux automobilistes.
Les femmes accompagnées d’enfants font montre de tristesse et ne cessent de se lamenter. Celles qui refusent de verser beaucoup d’argent aux spéculateurs et aux chefs de districts qui leur louent l’enfant et le coin de la rue à occuper, préfèrent utiliser des poupées qu’elles dissimulent bien dans des tissus. Celles-ci louent la place à 30 DH par jour. Mais elles sont contraintes de la laisser si toutefois le gérant du district, dit chef de district, reçoit une offre plus alléchante de la part d’une «cliente» (mendiante) intéressée par le pack : la place et l’enfant. Là, le chef de district n’hésite pas à remplacer la femme à poupée par une autre à enfant.
Les deux catégories de mendiantes présentent aux passants des photos et des livrets de familles. Souvent ces photos sont les mêmes. Elles les récupèrent chez un laboratoire du quartier qui les vend à 10 DH l’unité. Un accessoire de plus pour montrer un cadre familial déstabilisé par une crise financière toujours due à un licenciement abusif du père de famille, de sa mort accidentelle ou suite à un divorce. Les scénarios sont identiques, seuls les personnages changent.
Les astuces des mendiants munis d’enfants ne manquent pas. A chacun sa technique. Mais l’outil est le même. Des enfants sont à leur disponibilité dans trois coins de la ville : derrière la gare routière Ouled Ziane, dans un coin du boulevard Mustapha Mâani où Latifa avait rendez-vous avec ses clientes et enfin derrière le Complexe sportif Mohammed V à Casablanca.
Le soir même, une dizaine de femmes étaient là à attendre l’arrivée de leur progéniture. Les fournisseurs professionnels s’y mêlent, les spéculateurs aussi. Le moment est propice pour tous. Les mères récupèrent leurs enfants après les avoir examinés minutieusement sous les regards des chefs de districts et de l’arrondissement. Ces derniers leur fixent un rendez-vous pour le lendemain dans un autre coin du boulevard de peur de tomber dans les filets de la police.
Manifestations au Maroc : « ce mouvement pacifique est la seule voie qui nous reste »
Alors que l’opposition a appelé à participer dimanche à une manifestation en faveur d’une « large réforme politique » dans plusieurs villes du Maroc, Abdellah Hammoudi, professeur d’anthropologie à l’Université de Princeton, explique pourquoi il soutient ce mouvement.
DEGAGE………..DEGAGE………..DEGAGE…………DEGAGE………DEGAGE
il faut bien constater que les réalités de ce pays contredisent les discours lénifiants que certains milieux marocains et non-marocains tentent de faire accréditer dans l’opinion publique. On pourrait citer une longue liste de problèmes. Parmi eux : une pauvreté rampante dans de très larges couches de la population, l’absence d’emploi pour un cinquième (ou un quart ?) de la population jeune en âge de travailler, l’énorme proportion des illettrés après plus d’un demi-siècle d’indépendance, le chômage et la démoralisation des diplômes, et le manque de perspectives pour la masse des scolarisés et des jeunes, enfin les inégalités exceptionnellement fortes et choquantes entre riches et pauvres. Je m’en tiendrai là pour ne pas lasser les lecteurs.
Tous les marocains appellent à la réforme de la Constitution, la démission de l’actuel gouvernement, la dissolution du Parlement, la lutte contre la corruption, la libération des détenus politiques, la fin de la censure et de la «bénalisation» de l’économie marocaine (117e rang mondial) et veulent, in fine, une monarchie constitutionnelle comme celle en Espagne, la séparation réelle des pouvoirs, une redéfinition des prérogatives de la monarchie et le vote au suffrage universel d’un Premier ministre avec toutes les prérogatives pour choisir ses ministres. Sûrs du bien-fondé de leurs revendications, ils promettent de ne pas baisser les bras «jusqu’à la satisfaction de nos revendications». Parmi celles-ci, la démission du gouvernement et la dissolution du Parlement. «C’est le seuil minimum que nous accepterons», affirme Oussama El-Khlifi, un des membres du Mouvement des jeunes du 20 Février, mettant en garde «contre toutes les tentatives de provocation». Aux dernières nouvelles, la Jeunesse d’Al Adl wal Ihsane (Justice et Bienfaisance), le mouvement islamiste interdit mais toléré, serait de la partie avec ses «30.000 à 40.000 adhérents».
Face à cette détermination, le Palais retient son souffle et prépare ses troupes. Le Roi exclut tout rôle au prince rebelle et cousin germain d’Al-Walid bin Talal d’Arabie Saoudite, dans une éventuelle transition. Même si personne ou presque ne remet en cause son trône, Mohammed VI a cru bon de consulter son ami Sarkozy sur la manière de gérer cette crise annoncée et de commander du matériel antiémeutes à Israël. Selon le journaliste opposant Ali Lmrabet, Rabat a commandé récemment du matériel antiémeute à l’Etat hébreu. Ce matériel aurait été acheminé par mer à bord de deux cargos de transport de troupes C130, et a été réceptionné il y a une dizaine de jours à l’aéroport militaire de Ben Slimane
momo le poulpe a revelé sa decheance et il en fait des cauchemares toutes les nuits, il a descendu dans la boite qui marque sa fin, momo va perdre ses plumes à partir de ce 20
momo n’est plus commandeur des croyants même pour les fourmis
momo n’est plus roi du maroc du moins dans les esprits
momo a perdu toutes ses cartes malgré le culte de personalité à coup de milliards pour lui ravaler la façade
momo est un dictateur bien classé parmi d’autres des pays arabes
momo commence une nouvelle ère ou son regner sur le maroc est une honte et un deshonneur puisque son le systeme est pourri et la pourriture commence par momo pour descendre du haut en bas
momo degage n’est plus un tabou pour les marocains
momo = zin el abidine = mobarak = kadafi = bouteflika= assad= les autres dictateurs arabes
la seule difference avec eux c’est que momo est le plus bas dans la communication le plus fortuné et le plus cher au peuple
momo degage
http://www.youtube.com/watch?v=Wu7wFwRXC98&feature=player_embedded
les milliards du clan benali ( quelques palais )
imaginez le clan des alaouites des centaines de palais, rien que les phosphates apportent aux alaouites 3 milliards de dollars chaque années, les mineraies des milliards
momo est 100 fois riche que benali ou mobarak et les marocains le savent en pus le caln des alaouites se compte en centaines d’individus qu’ils se nomment prince et princesse du vol surtout et du pillage du maroc
si le pire arrive, momo va sans doute prendre ses dispositions pour mettre ses fortunes en israel, il va tirer les consequences du drame benali
Les participants qui se sont regroupés vers 9 H 30 mn à la place du 16 Aout , se sont dirigés par la suite au siège de la wilaya de l’oriental et ont scandé des slogans de justice sociale, d’équité politique :; « les jeunes veulent travailler » ; « pour un partage équitable des richesses du pays » « Le peuple veut le changement » ; « oui pour la dignité et la liberté » ; « non pour l’humiliation » « Pour de bons services en santé, en enseignement et en habitats » « pour un état de droit , d’égalité et de dignité » « à bas le Makhzen » …
Plusieurs milliers de Marocains manifestaient dimanche à Casablanca et Rabat et d autres villes pour réclamer des réformes politiques et une limitation des pouvoirs du roi, premier mouvement de ce type dans le pays depuis le début des révoltes qui secouent le monde arabe.
des milliers de personnes étaient rassemblées dans le centre de Casablanca, principale ville du pays, certains scandant: « liberté, dignité, justice »,
Des banderoles proclamaient: « Le roi doit régner et non gouverner » ou « Le peuple veut une nouvelle Constitution », tandis que des groupes de gauche demandaient « moins de pouvoirs à la monarchie ».
A Rabat, 4.000 personnes, – 7.000 selon l’un des organisateurs – manifestaient en scandant: « le peuple veut le changement ».
Aucun incident n’avait été signalé dans les deux villes en fin de matinée.
Encombrant ralliement des islamistes
Dans la foulée des événements de Tunisie et d’Egypte, de jeunes Marocains avaient lancé sur Facebook le mouvement « du 20 février », appelant à manifester pacifiquement pour réclamer une nouvelle Constitution limitant les pouvoirs du roi et plus de justice sociale. L’appel a rapidement rassemblé des milliers de sympathisants.
Mais, à la veille de la manifestation, l’un des jeunes à l’origine de l’appel et deux autres signataires ont annoncé leur retrait, évoquant des divergences « idéologiques » avec une formation islamiste et des groupes de gauche.
L’organisation de la jeunesse du mouvement islamiste Justice et bienfaisance a appelé elle aussi à manifester « pacifiquement » dimanche. Ce mouvement, interdit mais toléré, est considéré comme « l’un des plus importants du Maroc ». L’appel à manifester a été appuyé par des ONG comme l’Association marocaine des droits humains (AMDH) et des journalistes indépendants, appelant à « l’adoption d’une Constitution démocratique ».
Les principaux partis politiques marocains dont l’Istiqlal (du Premier ministre Abbas El Fassi) se sont en revanche prononcés contre l’appel.
COMMENT NE PAS MANIFESTER,,ET COMMENT EST CE MAROC DE MOMO6……LA MENDICITE PREND EMPLEUR PARTOUT…AU MAROC ENCHANTE DE CE ROI ET SON MAKHZEN
pareille heure de la journée, Malika et Latifa attirent les passants. Les deux quadragénaires abordent une discussion houleuse en usant d’un vocabulaire ordurier devenu habituel chez les
usagers du passage Glaoui au boulevard Mohammed V à Casablanca. Seuls quelques passants avertis comprennent ce qui passe. Les curieux ne peuvent s’empêcher d’intervenir pour les séparer. Mais les deux femmes ne tardent à se prendre par les cheveux. Munies d’une lame de rasoir, Latifa menace Malika de lui taillader le visage si elle ne lui verse pas son dû. De quoi s’agit-il exactement ? Personne ne peut trancher, sauf les marchands à la sauvette qui occupent en masse les lieux.
D’après l’un d’eux, «c’est toujours comme ça avec les fournisseurs de Malika qu’elle refuse de payer. A chaque fois, elle trouve un prétexte pour renégocier le prix.» Obsédée par l’idée que Malika veut l’arnaquer, Latifa refuse de la laisser partir en dépit des efforts des passants. Menacée de l’arrivée de la police par quelques-uns, cette femme robuste ne montre aucune inquiétude. La prison ne lui fait pas peur. «En plus, les policiers me connaissent très bien. Je ne suis pas une femme à problèmes. C’est elle l’arnaqueuse qui ne veut pas me payer 3 jours de loyer. Elle le fait avec tout le monde», poursuit-elle. De quel loyer parle-t-elle ? «Elle lui a loué un enfant qu’elle a payé préalablement à sa mère pour trois jours. Elle est venue récupérer le loyer mais elle refuse de lui verser son argent», explique un marchand ambulant.
Quelques minutes suffisent pour que Malika cède devant les menaces de Latifa. Elle jette par terre une somme d’argent. Latifa se précipite pour les ramasser. Elle n’en prend que son dû et rend à sa cliente la monnaie. Elle ne tarde pas à quitter les lieux vers le passage Sumica où les autres mendiantes la rejoignent. La réunion du chef du district ne durera que quelques minutes, juste le temps de récupérer le loyer, avant de leur donner rendez-vous au Boulevard Mustapha Maâni le soir même à 21 heures.
Délaissée, Malika rassemble ses forces pour reprendre le travail. Coléreuse, elle se met à battre l’enfant assis à côté d’elle. Elle ne le fait pas pour se venger de Latifa, mais pour attirer l’attention des passants. Une manœuvre très usitée par les mendiants qui utilisent des « enfants accessoires » comme appât pour s’attirer la pitié des passants.
L’astuce est très rentable car les gens n’aiment pas voir un enfant pleurer. C’est pourquoi, les âmes charitables sont toujours prêtes à verser parfois des billets de 20 à 100 DH pour que la femme renonce à son acte inhumain. Un chantage devenu fréquent chez certains mendiants professionnels qui usent de tous les moyens pour avoir la pitié des gens. Malika loue cet enfant depuis plus d’un mois. Elle refuse de le changer car il est à ses yeux porte-bonheur. Une conviction qui lui coûte de plus en plus cher. Avertis par des indics installés sur place, Latifa, principal fournisseur d’enfants aux mendiants de ce quartier de la ville, réclame à sa cliente un loyer trop élevé. Chaque jour, Malika doit lui verser 250 DH pour pouvoir garder l’enfant. «Un prix fort pour un enfant mal nourri qui n’inspire que peu la pitié des gens.
Avec un enfant plus joli et surtout bien entretenu, j’aurais gagné plus. Mais ce garçon me porte bonheur.», précise Malika. Et d’ajouter : «Latifa est une prostituée. Elle n’a de pitié pour personne. Je lui ai juste demandé de baisser un peu le loyer de l’enfant, car je suis obligée de le nourrir chaque jour. Et voilà le résultat. Elle a failli me balafrer le visage. Heureusement que je vends aussi des cigarettes pour augmenter ma recette quotidienne». Combien gagne-t-elle par jour ? Impossible de lui tirer les vers du nez. «Louange à Dieu tout puissant. Il me reste de quoi vivre le reste de la journée et payer le loyer de la chambre que j’occupe avec une autre mendiante», ricane-t-elle. Selon le propriétaire de la crémerie en face, «Malika est la moins chanceuse de tous les mendiants de la zone. Elle vient chaque jour échanger des pièces contre des billets. Sa recette dépasse les 600 DH jour. Il y a un vieux mendiant qui exploite un enfant handicapé pour gagner parfois plus de 1000 DH par jour». Une recette importante d’un métier jamais frappé par la crise que plusieurs spéculateurs se partagent. La mère de l’enfant n’a droit qu’à une petite part entre 80 et 320 DH dans les jours ordinaires.
«Un loyer quoi double pendant l’été et les occasions religieuses vu la tendance des gens à faire de la charité. La pénurie des enfants fait augmenter parfois leur prix, notamment en hiver. Les enfants les plus sollicités sont les handicapés, les plus beaux et les bébés», précise un associatif.
«Les moins de 12 ans sont utilisés dans d’autres formes de mendicité : la vente de chewing-gum et de kleenex dans les cafés et les ronds-points. Certains les utilisent dans d’autres deals, tel le nettoyage des vitres de voitures. Le cas le plus spectaculaire est celui de ce colosse qui effraie les femmes au feu rouge de l’axe entre la rue de Sebta et le Boulevard Zerktouni pour leur soustraire de force quelques dirhams.
Pour sa sale besogne, il utilise un enfant en bas âge, qu’il n’hésite pas à malmener, pendant tous le mois du Ramadan et à la veille des fêtes, histoire de soustraire plus d’argent aux automobilistes.
Les femmes accompagnées d’enfants font montre de tristesse et ne cessent de se lamenter. Celles qui refusent de verser beaucoup d’argent aux spéculateurs et aux chefs de districts qui leur louent l’enfant et le coin de la rue à occuper, préfèrent utiliser des poupées qu’elles dissimulent bien dans des tissus. Celles-ci louent la place à 30 DH par jour. Mais elles sont contraintes de la laisser si toutefois le gérant du district, dit chef de district, reçoit une offre plus alléchante de la part d’une «cliente» (mendiante) intéressée par le pack : la place et l’enfant. Là, le chef de district n’hésite pas à remplacer la femme à poupée par une autre à enfant.
Les deux catégories de mendiantes présentent aux passants des photos et des livrets de familles. Souvent ces photos sont les mêmes. Elles les récupèrent chez un laboratoire du quartier qui les vend à 10 DH l’unité. Un accessoire de plus pour montrer un cadre familial déstabilisé par une crise financière toujours due à un licenciement abusif du père de famille, de sa mort accidentelle ou suite à un divorce. Les scénarios sont identiques, seuls les personnages changent.
Les astuces des mendiants munis d’enfants ne manquent pas. A chacun sa technique. Mais l’outil est le même. Des enfants sont à leur disponibilité dans trois coins de la ville : derrière la gare routière Ouled Ziane, dans un coin du boulevard Mustapha Mâani où Latifa avait rendez-vous avec ses clientes et enfin derrière le Complexe sportif Mohammed V à Casablanca.
Le soir même, une dizaine de femmes étaient là à attendre l’arrivée de leur progéniture. Les fournisseurs professionnels s’y mêlent, les spéculateurs aussi. Le moment est propice pour tous. Les mères récupèrent leurs enfants après les avoir examinés minutieusement sous les regards des chefs de districts et de l’arrondissement. Ces derniers leur fixent un rendez-vous pour le lendemain dans un autre coin du boulevard de peur de tomber dans les filets de la police.