Maroc: la mort d’Abraham Serfaty, militant de la liberté
18 11 2010Abraham Serfaty opposant historique d’Hassan II est décédé ce jeudi à l’âge de 84 ans.
Paix a son âme,qu’il repose en paix.
Abraham Serfaty opposant historique d’Hassan II est décédé ce jeudi à l’âge de 84 ans.
Paix a son âme,qu’il repose en paix.
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C etait un courageux, il a ete torture par hassan2, et manipule par son fils, pretendent qu il est democratique et que Sarfati peut revenir a son pays, hypocrisie apres hypocrisie makhzanienne et rien d autre cela ne changera jamais……..maroc est une prison encore nommee Tazmamart makhzanienne
malheureusement,des hommes comme lui ,sont tres rares au maroc,il reste ,un grand symbole militantisme authentique.adieu abraham
Saïda Menebhi, professeur d’anglais à Rabat, qui a été arrêtée le 16 janvier 1976, en est une des figures les plus attachantes et les plus emblématiques. Elle a été internée dans le sinistre centre de Derb Moulay Chérif où elle a été torturée.
Jugée à Casablanca en janvier 1977, avec 138 autres inculpés pour atteinte à la sûreté de l’État, elle réaffirme sans sourciller son soutien à la cause sahraouie. Mise à l’isolement, elle s’est éteinte le 11 décembre 1977 après 34 jours de grève de la faim à l’hôpital de Casablanca, faute de soins appropriés. Elle était âgée de 25 ans. Abdellatif Zeroual, philosophe, poète et membre de la direction nationale d’Ilal Amam, a rendu son dernier souffle en 1974, sous la torture, dans les geôles du Derb Moulay Chérif, le tristement célèbre centre de détention du Royaume chérifien. Amine Tahani a rendu l’âme lui aussi sous la torture le 6 novembre 1985… «Puis-je oublier mes camarades Abdellatif Zeroual et Amine Tahani, morts sous la torture? Puis-je oublier Saïda Mnebhi, morte en grève de la faim? Puis-je oublier tant de vies de mères combattantes, mortes épuisées par leur lutte pour leurs enfants emprisonnés, y compris la mienne, morte en avril 1982? Puis-je oublier les 33 morts dans les cachots de Tazmamart…», écrivait Abraham Serfaty au mois d’août 2004 dans un texte intitulé L’héritage de Hassan II.
a quand notre tour