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Maroc :le président du conseil municipal de la commune urbaine de Midelt M. Mohamed Hanini !!!filmé en flagrant délit de corruption!!!

13 08 2010

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Chouha!!!…La honte!!!…

le président du conseil municipal de la commune urbaine de Midelt M. Mohamed Hanini !!!


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10 réponses à “Maroc :le président du conseil municipal de la commune urbaine de Midelt M. Mohamed Hanini !!!filmé en flagrant délit de corruption!!!”

  1. 14 08 2010
    CITIZEN (17:07:28) :

    le makhzen encourage les marocains à la corruption

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  2. 16 08 2010
    3abassa (03:25:59) :

    Tout est base sur la corruption…du roi et son makhzen jusqu au dernier employe des communes gouvernementales, Moukata3a, la court de justice etc etc etc, et maintenant c est partout dans toutes les villes..

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  3. 25 08 2010
    Oubana (05:48:01) :

    Comme le rappelle le dicton arabe: « le chasseur de l’autruche finira par trouver son sort!… » Il fallait bien s’y attendre! les escrocs, les voleurs « modernes, sous divers vocables…, les « corsaires » aux cravates, ou encore les délinquants « aux cols blancs » finiront incontestablement par se dévoiler!…
    Le résultat est le même tant qu’il émane du même objectif: amasser de l’argent indûment, au dépens des autres! rechercher la fortune, le lucre et s’enrichir par toutes les voies possibles, fussent- elles illégales…

    Les « principes » prônés par le parti ou « calqués » de la religion ne sont en réalité qu’une couverture, une façade destinée à dérouter le citoyen moyen… qui n’est pourtant pas dupe…pour preuve: la méthodologie et la technicité utilisées pour enregistrer les intéressés en flagrant délit! la main dans le sac…

    Pourtant, la crédibilité indiscutable de ces faits manifestement délictueux (images et sons à l’appui…) n’a pas dissuadé l’auteur principal (le zaïm) d’apparaître, sans la moindre gêne, sur le site « Youtube », en réplique à la vidéo- vérité…, à la manière qui rappelle les enregistrements enfilés par l’un des bras droits de Ben Laden à la station Qatarie Al Jazeera (pièce minuscule avec rideaux, bouquets de fleurs… affichés délibérément pour rendre difficile l’identification des lieux…) pour incriminer les enregistrements réalisés et défendre une autre thèse: celle du recouvrement des loyers, le montant de 20.000 DH- longtemps discuté à la baisse par l’investisseur victime de la corruption- constituant le prix des loyers impayés!…

    C’est probablement un argument qui n’a pas convaincu le staff de Benkirane & Cie et l’a amené à envisager une sanction à l’encontre du maire dont les agissements se sont avérés douteux, mesure provisoire dans l’attente du cours de l’instruction entamée par la police judiciaire et l’issue de cette affaire portée désormais devant la justice…

    Le PJD, qui n’en est pas à sa première déviation, à l’instar d’autres partis ayant connu des dérapages similaires…, saura t-il en tirer les leçons qui s’imposent ?
    La vraie leçon reste surtout à tirer par les citoyens de la localité: l’électorat local, à travers ses partis politiques, la société civile et ses institutions traditionnelles… doit mieux cibler ses votes! il y va de l’avenir de la population et des enfants de Midelt…

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  4. 30 08 2010
    victime du maroc (01:31:39) :

    Il faut être réaliste, la corruption est devenu une pratique courante au Maroc en constituant le moyen idéal pour s’échapper à des obligations et violer les droits des autres. Tant que les marocains ignorent leur droits et obligations ou revendiquent des choses qui ne les appartiennent pas, les voleurs et les corrompus continuent à se proliférer et étendre leurs activités. Avec les offres attractifs et séduisants proposés par les voleurs, même des personnes honnêtes peuvent finir par céder. C’est une question d’offre et de demande. Pour garantir la demande pour les années à venir, un énorme effort est fourni pour normaliser ce type d’actes, considérés comme des fondements de l’Etat de makhzen, entre les nouvelles générations. Avec l’extension et la diversité des moyens de gain illégale au Maroc, la corruption constitue une sorte de blanchissement de l’argent sale. Donc l’éradication de ce fléau passe, en plus de contrôle et sensibilisation, par la légalisation des moyens de gain de vie.
    Il faut me croire, les personnes honnêtes qui font recours aux moyens légales sont très défavorisés et mêmes battues dans ce pays. Tout le monde en Etat d’attente pour bénéficier des avantages du système corrompu en assurant la réussite des programmes et plans des voleurs et corrompus et par conséquent la durabilité de l’Etat makhzanien pour l’infini.
    La chose la plus évidente c’est que les voleurs et les corrompus sont protégés par le makhzen et échappent à toute punition, ce qui les encourage à exercer leurs activités en toute liberté. La preuve c’est que on attend qu’un film apparaisse à Youtoub pour découvrir les violations enregistrées dans la gestion de la chose publique. Ces dérapages constituent l’arbre qui cache le foret. La question qu’il faut poser est la suivant: jusqu’à quand Youtoub jouera le rôle d’un organe de contrôle au Maroc et fait la chose à la place des responsables recrutés pour ça.

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  5. 30 08 2010
    CITIZEN (12:58:38) :

    Maroc : Un verset du Coran censuré
    “En vérité, quand les rois entrent dans une cité ils la corrompent, et font de ses honorables citoyens des humiliés. Et c’est ainsi qu’ils agissent ». (Coran, verset 34, sourate 27 (Annaml))

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  6. 20 09 2010
    Ballagha (21:58:15) :

    Ex-journalistes à Medi 1, Elodie Font et Marion Guénard racontent le fonctionnement particulier d’une radio surveillée de près par le pouvoir, et où le moindre impair à l’antenne peut coûter cher. Et rappellent que le financement de ce média très institutionnel est assuré en partie par la France, via une subvention pour la rédaction française.

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  7. 21 09 2010
    Ballagha (18:54:11) :

    Radio Méditerranée Internationale, plus connue sous le nom de Medi1, a soufflé il y a quelques jours ses trente bougies. Depuis 1980, elle émet vingt-quatre heures sur vingt-quatre, en arabe et en français. D’après ses propres chiffres (il n’existe pas d’instituts statistiques), elle serait écoutée par plus de 20 millions d’auditeurs.

    Il y a trois décennies, Medi 1 était un ovni dans le paysage médiatique maghrébin : seuls les relais officiels des différents régimes sont alors autorisés. Les auditeurs découvrent la matinale, avec un ton plus direct et des informations fiables sur l’actualité internationale. Une station innovante, qui semble indépendante.

    Hassan II en est pourtant à l’origine : le roi cherche alors à contrer la couverture algérienne du conflit au Sahara. L’idée séduit le président français, Valéry Giscard d’Estaing, qui y voit un moyen de pérenniser l’influence française au Maghreb.

    Medi 1, un vent de liberté vite essouflé

    L’accord est scellé : Medi 1 sera possédée à 51% par le Maroc et à 49% par la France, par l’intermédiaire de la Compagnie internationale de radio et télévision (le CIRT), que nous avons joints pour obtenir davantage de détails, mais personne n’a souhaité nous répondre.

    Un vent de liberté qui s’essouffle rapidement. Medi 1 n’échappe pas à la règle : impossible pour la radio de repousser certaines limites. Principal mot d’ordre : ne jamais offenser le pouvoir royal, qu’il soit incarné par Hassan II, puis par son fils Mohammed VI.

    A sa prise de pouvoir, en 1999, le roi, jeune trentenaire, semble pratiquer l’ouverture. Pourtant, aujourd’hui, Medi 1 n’a jamais été autant assujettie au palais. C’est d’ailleurs la station qui diffuse le plus longuement les activités royales -davantage que la Radio Télévision Marocaine, fidèle parmi les fidèles. Par activité royale, comprenez le récit détaillé de l’emploi du temps du roi, quel qu’il soit.

    Voici l’extrait d’un communiqué (pris au hasard), publié par la MAP, l’agence de presse officielle du Royaume :

    « SM le Roi inaugure à Agadir un centre de formation professionnelle mixte et un centre de consolidation des compétences des femmes, d’un coût total de 12 millions de dirhams.

    Agadir – Sa Majesté le Roi Mohammed VI, que Dieu L’assiste, a inauguré, mardi à Agadir, un centre de formation professionnelle mixte et un centre de consolidation des compétences des femmes, réalisés par la Fondation Mohammed V pour la solidarité pour un coût global de 12 millions de dirhams. [1 million d'euros, ndlr] »

    Sur l’antenne, les journalistes ont le droit d’oublier le « Sa Majesté » et le « que Dieu l’assiste. » Pour le reste, tous les mots sont repris. Tant pis si, finalement, l’information peut paraître obscure. Le plus important, c’est de recracher la dépêche le plus rapidement possible à l’antenne. Et d’en faire l’ouverture.

    Explication du nouveau PDG de la radio, Hassan Khyiar :

    « Quand le roi, après avoir inauguré un centre, remonte dans sa voiture, il veut l’entendre sur Medi 1 le plus vite possible. »

    Pas question de se tromper à l’antenne : Medi 1 est la voix du roi

    Et pour cause : avec 20 millions d’auditeurs, une diffusion dans tout le Maghreb, Medi 1 est devenue progressivement la voix du roi. Au Maroc, bien sûr, mais aussi pour les observateurs extérieurs. Pas question donc de se tromper sur un chiffre ou sur un nom.

    En mai, l’une de nous deux en a fait les frais. Le roi d’Arabie saoudite venait de faire un don au Maroc, et il fallait rapidement donner l’information à l’antenne. Dans la précipitation, elle parle du « président de l’Arabie saoudite ».

    Dans une monarchie, c’est l’erreur à ne pas faire. A peine le flash terminé, le téléphone sonne dans le bureau des rédacteurs en chef. Plusieurs dizaines de fois. Au bout du fil, très en colère, l’ambassade d’Arabie saoudite et le Palais royal.

    En une heure, la radio est sens dessus dessous. Personne ne comprend réellement ce qui se trame. Ni elle, ni ses collègues.

    Une heure après, elle présente un nouveau flash. En sortant du studio, son rédacteur en chef l’attend. Le visage grave, il lui annonce : « On demande ta tête. » Une exigence du Palais. Pour cette erreur, elle a finalement été mise à pied pendant trois jours.

    Medi 1 parle plus librement de l’Algérie, mais n’enquête guère

    Pour éviter tout dérapage, tous les sujets de politique intérieure et de société passent à la trappe. A part pour quelques domaines chers à la famille royale (comme la lutte contre le cancer), Medi 1 ne s’autorise pas à parler du Maroc.

    La radio parle plus librement de l’Algérie. Dans les années 1990, le GIA algérien y diffusait d’ailleurs ses communiqués -comme dans l’affaire des moines de Tibéhirine. Les nombreux auditeurs algériens cherchent sur les ondes marocaines une vision plus critique de leur pays.

    Sur certains sujets, ils sont servis. La question du Sahara, par exemple -ce qu’on appelle en France le Sahara occidental. Medi 1, comme les autres stations marocaines, ne peut se permettre aucune nuance : le Maroc a forcément raison, l’Algérie toujours tort.

    Medi 1 est très écoutée en Algérie et pourtant la station n’a que deux correspondants réguliers à Alger. Alors, pour parler du pays, chaque matin, le premier réflexe des journalistes est d’éplucher la presse algérienne (El Watan, Liberté, L’Expression), d’en ressortir une poignée d’informations qui datent souvent de l’avant-veille, et de les redonner à l’antenne. En ne les vérifiant jamais.

    S’inspirer de la presse algérienne, c’est une vieille tradition dans la rédaction. Preuve parmi d’autres de la faible évolution du traitement de l’information. Après trois décennies, les journalistes sont toujours obligés de passer par le standard pour appeler à l’extérieur ; il n’y a toujours pas d’invité en direct -pour éviter ce qui est arrivé à la station privée Radio Mars ; toujours pas de reportage.

    Les subventions françaises accordées à la radio augmentées en 2010

    Pourtant Medi1 ne manque pas de financements. Fait rare en ces temps de vaches maigres, les subventions françaises reçues ont même augmenté cette année. En 2010, l’Etat lui a versé 1,6 million d’euros, pour financer la rédaction francophone -composée d’une quinzaine de journalistes.

    Même si elle est encore une référence aujourd’hui, la vieille Medi 1 est en train de se faire rattraper de toute part par des radios concurrentes bien plus aventurières (2M ou Aswat).

    Pour stopper l’hémorragie, la nouvelle direction va lancer en octobre une nouvelle grille. Un des principaux objectifs : développer le numérique. Alors que le journalisme citoyen est apparu il y a déjà plusieurs années, le site ne propose aucune forme d’interactivité avec les auditeurs.

    Medi 1 était à ses débuts un appel d’air sans précédent, un vrai laboratoire d’idées. C’est aujourd’hui une radio bien difficile à dépoussiérer.

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  8. 28 09 2010
    Amina (04:12:52) :

    TORTURE À LAÂYOUNE, DAKHLA ET…SALÉ
    Les fantômes de Tazmamart de retour

    Un jeune Marocain âgé de 37 ans, a rendu l’âme dans un commissariat de la ville de Salé près de Rabat sous la violence des coups qui lui ont été portés par des policiers marocains.

    Répondre

  9. 29 09 2010
    Amina (05:45:01) :

    nous sommes tous des Fodail Abrkane”. Par ailleurs, une grande mobilisation a été initiée au niveau de Facebook où a été créée une page intitulée “ nous sommes tous des martyrs de la torture comme Fodail Abrkane”. Dans ce réseau social du web plusieurs centaines d’adhérents ont exprimé leur écoeurement face à ce crime qualifié d’odieux et affiché leur solidarité avec la famille de la victime. Fodail Abrkane, rappelle-t-on, est mort samedi 18 septembre après avoir subi les affres de la torture au commissariat de Salé. Agé de 37 ans, il ne souffrait d’aucune maladie, selon ses proches. Il a été arrêté la veille de l’Aid El-Fitr par la police sous l’accusation de consommation de cannabis avant d’être libéré 48 heures après. Convoqué plusieurs fois au commissariat, situé à quelques mètres du tribunal de première instance, la victime a été accusée d’outrage à agent dans l’exercice de ses fonctions avant qu’il ne soit torturé. Son frère Mustapha a témoigné devant la presse qu’il a vu, lors d’une visite rendue à son frère au commissariat, des agents qui frappaient Fodail devant tout le monde en plein couloir. “J’ai voulu intervenir pour faire cesser les coups meurtriers qui s’abattaient sur mon frère, des policiers m’ont pris par le bras, m’ont mis dehors et m’ont ordonné de ne jamais revenir au commissariat”, a-t-il affirmé à la presse. La cérémonie d’enterrement de Fodail Abrkane était contrôlée par les différents services de police qui interdisaient photos et enregistrement vidéo, avait indiqué la presse

    Répondre

  10. 2 10 2010
    Ballagha (18:45:34) :

    Le magazine marocain Nichane, version arabophone de l’hebdomadaire francophone TelQuel, ferme ses portes. Cette décision, annoncée vendredi 1er octobre, pour cause de faillite, est le résultat, précise le groupe TelQuel dans un communiqué, « d’un boycott publicitaire persistant initié par le holding royal ONA/SNI (…), étendu à de multiples grands annonceurs étatiques, paraétatiques et proches du pouvoir ».

    Maroc : ombres sur les relations entre la presse et le pouvoir

    « A cause de son indépendance et de ses positions éditoriales souvent critiques à l’égard du pouvoir marocain », le magazine, « laïque et moderniste », souligne encore le groupe, a subi, dès son lancement, en 2006, « de multiples épreuves » : interdiction de parution pendant trois mois, procès, condamnations à de la peine de prison avec sursis pour une journaliste et son ancien directeur, saisies, destructions d’exemplaires….

    Pour le groupe, le mouvement de boycott s’est « accéléré et généralisé » à partir de septembre 2009, coïncidant avec la censure par l’Etat marocain d’un sondage, positif, sur « Mohammed VI, dix ans de règne », réalisé conjointement par Nichane, TelQuel et le quotidien français Le Monde. « L’étouffement financier par le biais du boycott publicitaire a été le coup de grâce », estime la direction de TelQuel. En deux ans, Nichane, qui était devenu le premier hebdomadaire arabophone avec 20 000 exemplaires vendus par semaine et cinq fois plus de lecteurs, a ainsi vu ses recettes publicitaires chuter de 77 %.

    « ÉTOUFFER LA PRESSE INDÉPENDANTE »

    « Sa disparition, dénonce son directeur, Ahmed Benchemsi, n’est que le dernier épisode de la grave détérioration de la liberté de la presse au Maroc ». « Le boycott, ajoute-t-il, est un des nombreux instruments utilisé par le pouvoir pour étouffer la presse indépendante, et il l’a déjà utilisé ». Au mois de février, étranglé par des dettes, le Journal hebdomadaire, pilier de la presse indépendante marocaine, avait été lui aussi contraint de mettre la clé sous la porte.

    L’équipe de Nichane, composée d’une quinzaine de journalistes, fait l’objet aujourd’hui d’un licenciement collectif. Le groupe TelQuel est détenu par plusieurs actionnaires individuels, dont le Français Jean-Louis Servan-Schreiber qui possède 29 % des parts.

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