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Maroc :Dix ans de régression…….. saisie des derniers numéros de « Telquel » et de « Nichane »”

2 08 2009

Maroc :Dix ans de régression........ saisie des derniers numéros de « Telquel » et de « Nichane »” dans La face cachée 1249213084_1couv_371

Le dernier numéro saisi


Le makhze féodal reproche la publication d’un sondage sur le Roi dans « TelQuel » et bientôt dans le journal français « Le Monde ».

Pour justifier la saisie des deux magazines, à l’AFP (Agence France Presse), le ministre marocain de la communication a déclaré que « la monarchie au Maroc n’est pas en équation et ne peut faire l’objet d’un débat même par voie de sondage. » et a ajouté que « Si Le Monde publie ce sondage, il ne pourra être mis en vente au Maroc, c’est une question de cohérence ».

Que veulent dire les propos de ce ministre ?

que « Dieu » se réincarne en Roi du Maroc !!!!


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6 réponses à “Maroc :Dix ans de régression…….. saisie des derniers numéros de « Telquel » et de « Nichane »””

  1. 3 08 2009
    mazal (01:51:42) :

    l’enrichissement personnel, on a une idée de la condition de la société marocaine. Au pouvoir depuis dix ans, le souverain marocain serait, selon le magazine financier Forbes, l’un des hommes les plus riches du monde. Et sa fortune aurait doublé au cours des dernières années (..) Il est à la tête d’un joli pactole s’élevant à 2,5 milliards de dollars [1,8 milliard d’euros] et il caracole à la septième place des rois les plus aisés du monde sur une liste comprenant quinze souverains. (…) Rappelons que le Maroc est toujours à la 126e place dans le classement du rapport mondial sur le développement humain du Programme des Nations unies pour le développement (Pnud) et que le taux de pauvreté au Maroc est passé à 18,1%. La dette extérieure publique du Maroc a enregistré une augmentation de 10% par rapport à 2007, pour atteindre la somme de 11,9 milliards d’euros. Cela représente 20% du PIB et 39% des recettes courantes de la balance des paiements». ´´Jamais Hassan II ni la famille royale ne sont apparus dans les classements des fortunes mondiales, établis notamment par le magazine américain Forbes´´, ajoute cet observateur. Alors qu’elle était estimée à 500 millions de dollars au début des années 2000, la fortune de Mohammed VI a en effet été multipliée par cinq, à en croire le magazine américain

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  2. 5 08 2009
    nol (11:36:12) :

    plutot le premier gai
    son ami ali aussi imam

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  3. 5 08 2009
    Salah (19:19:18) :

    Le makhzen et son roi minable ont peur meme tres peur…….

    C’est la grande surprise, avec la pauvreté. Seuls 37% des Marocains estiment que la situation s’est améliorée pour les pauvres en dix ans. Le peuple juge aussi que le roi est trop féministe. A part ces critiques, notre sondage sur le roi n’avait rien de spécial.

    Sauf qu’il était le premier, et vu ce qui s’est passé, probablement le dernier. Dommage pour la démocratie !

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  4. 9 08 2009
    ghazal (01:57:19) :

    Voilà ce qui résume la rocambolesque affaire Fedoua Menouni. Cette conseillère communale élue le 12 juin à Oujda sous les couleurs du Mouvement populaire, et qui avait choisi de faire partie de l’alliance scellée autour du PJD, est introuvable depuis plus de trois semaines.

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  5. 10 08 2009
    Un peu d'hsitoire sur les alaouites (12:51:12) :

    à lire sur WIKIPIDIA un peu sur les alaouites
    on trouve que momo ressemble un peu à l’autre esclave Abd al aziz ui avait vendu aussi le maroc:

    Abd al-Aziz (en arabe : عبد العزيز الرابع), né en 1878 à Fès et mort en 1943), fut sultan du Maroc entre 1894 et 1908.

    Fils d’Hassan Ier et d’une esclave circassienne du nom de Lalla Rkia, il accède au trône à l’âge de 14 ans le 7 juin 1894, son frère aîné ayant été déshérité. Le grand vizir Bahmad exerce la régence jusqu’à sa mort en 1900. Il poursuit la politique de balance entre les puissances européennes.

    Bien qu’intelligent et sympathique, mais trop jeune pour gouverner, le jeune sultan préfère s’adonner aux plaisirs du sport et aux fêtes galantes dans les jardins de l’Agdal.

    Il prend le pouvoir sur le trône du Maroc à la mort du régent Ahmed ben Moussa. Son manque de personnalité fait penser à l’opinion publique et aux observateurs étrangers que le Maroc s’achemine vers la perte de son indépendance. Sa mère lui impose comme grand vizir El Hadj el-Moktar qui ne gouverne que quelques mois. À partir de 1901, Abd al-Aziz gouverne avec l’aide de conseillers européens, en particulier anglais, tel son favori Harris, qui abusent de son inexpérience. Il tente de moderniser les structures féodales du pays. En septembre 1901, il applique une grande réforme administrative et fiscale : suppression des impôts coraniques et transformation des caïds en salariés du Makhzen. Ces mesures révolutionnaires imposées brutalement suscitent une vague de mécontentement chez les notables qui entrent en lutte ouverte contre le gouvernement central. Le Maroc se divise entre plusieurs factions que le sultan n’a pas les moyens de contrôler. Le 13 mai 1903, une rébellion menée par des tribus rebelles éclate. Cette révolte qui avait pour but de détrôner le sultan et de chasser le ministre de la guerre et son entourage européen était mené par Bou Hmara. Ne disposant pas de troupe suffisante pour mater la rébellion qui agitait la région d’Oujda et de Tétouan, le sultan fait appel à la France[1].

    Au moment de la crise marocaine de 1905, (Coup de Tanger), à l’instigation de l’Allemagne, le sultan demande la convocation d’une conférence internationale sur le Maroc (1er avril 1905).

    Le pays croulant sous les dettes, le sultan signe en juillet 1906 le traité d’Algésiras qui partage l’influence sur le Maroc entre la France et l’Espagne. L’indépendance du sultan et l’intégrité du Maroc sont garanties, l’empire chérifien reste ouvert aux entreprises de toutes les nations. La France et le Maroc sont chargés de la police des ports marocains. La surveillance des frontières avec l’Algérie, l’encadrement de la police marocaine et la présidence de la Banque centrale sont confiées à la France.

    La France reçoit au Maroc des pouvoirs de police. C’est à ce titre que Lyautey occupe Oujda en 1907. En 1908, 6000 soldats français aux ordres du Général Drude débarquent à Casablanca.

    Il est détroné le 4 janvier 1908 par son frère Abd al-Hafid aidé par le pacha de Marrakech Thami El Glaoui, inquiets de la montée de l’influence étrangère.

    Répondre

  6. 18 08 2009
    amine (19:52:20) :

    imam des ivrognes , gay , putes , droguès ….ect oui bien sur

    Répondre

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