Maroc: Bientôt….La distribution de Harira par MoMo 6
27 07 2009à l’approche de ramadan !….
distribution de la richesse nationale !…
à l’approche de ramadan !….
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Et ce n est meme pas lui qui paye pour cela , des companie de corrompus qui le fassent a sa place pour continuer a gerer leurs affaires…
Ce n est alors que l image…le pauvre reste pauvre…et male dans sa peau..tout cela est magouille………….Makhzen el Khanez
LA VRAIE HRIRA………..
Casablanca, Agadir, Rabat, Oujda ont été les lieux d’incroyables mises en scène, de «mariages» contre nature, de deals qui auraient fait rougir les plus éprouvés des militants politiques de «l’ancienne ère» qui n’ont jamais confondu compromis et compromission. Mais c’est à Marrakech que le sommet du ridicule et de la manipulation ont été atteints où l’élection de Mme la Maire a été invalidée par des juges sur la base de la présentation d’un (1) bulletin de vote trouvé dans une poubelle. Car, c’est bien connu, il y a des militants politiques, comme les chiens errants, qui font les poubelles au soir des scrutins ! Le Wali Mounir Chraïbi, au bilan pourtant largement positif pour la ville ocre, en aura fait les frais.
Lahrira de sidi Ifni….
30 % de chômage à Sidi Ifni
Rappelons que Sidi Ifni est restée plus longtemps que les autres villes marocaines sous administration coloniale espagnole et n’a été rétrocédée au Maroc qu’en 1969. Ville alors florissante, elle connait depuis un processus de marginalisation et de paupérisation. Administrativement déclassée et rattachée à la province d’Agadir en 1970, Sidi Ifni ne bénéficie pas des mêmes subventions que les villes voisine et elle vivote aujourd’hui de tourisme, de la pêche encore concédée et de l’argent envoyé par ses émigrés. Le taux de chômage actuel y dépasse les 30%. L’absence de perspectives incite nombre de jeunes à s’embarquer clandestinement vers les Canaries voisines pour 28 heures d’une dangereuse traversée.
Sa Majesté et notre pain quotidien
Le journaliste marocain Ali Lmrabet a été condamné en 2005 à dix ans d’interdiction d’exercice de la profession de journaliste par un tribunal de Rabat.
Quand le père, Hassan II [décédé le 23 juillet 1999], pouvait dans de mémorables discours gratter dans le sens du poil son « cher peuple », le faire rire ou le menacer, puis, sans aucune hésitation, détruire au canon des quartiers entiers et passer à la mitrailleuse depuis son royal hélicoptère les émeutiers d’une énième révolte populaire, le fils, Mohammed VI [intronisé le 29 juillet 1999], s’il n’excelle pas dans le massacre et ne paraît pas trop apprécier les proclamations au toujours soumis « cher peuple », partage néanmoins avec le fantôme de son défunt géniteur le sentiment que, sans la dynastie alaouite, sans ce régime en fait, nous sommes condamnés au déluge.
Voilà peut-être, au-delà des bilans sur les dix années de règne de Mohamed VI qui commencent à nous assommer, notre dilemme de Marocains du XXIe siècle. Peut-on vivre au Maroc d’aujourd’hui en faisant omission de cette réalité qui veut que tout doit tourner autour du roi ? Peut-on se défaire de ce sentiment diffus qui veut que nous devons être, de par la loi, les fils respectueux d’un père bienveillant qui a réponse à tout, est présent partout, dans le politique, le religieux, l’économique, les affaires, le social et même dans l’action caritative et spectaculaire ? N’a-t-on pas vu dernièrement le roi ordonner le rapatriement par avion militaire des restes (comme s’il s’agissait de ceux d’un maréchal d’Empire mort en exil) d’un nouveau-né décédé dans un hôpital madrilène à cause d’une erreur médicale ? Au-delà du douloureux drame qui a frappé la famille du bébé, a-t-on seulement conscience du ridicule de ce geste dont le but est seulement d’émouvoir bassement le peuple et d’exalter les sentiments patriotiques ?
C’est cela notre dilemme, notre détresse. Nous sommes une nation qui se prosterne par peur, se soumet au baise-main par tradition, et baisse instinctivement la voix quand elle dit du mal du régime. Même dans l’intimité de ce qu’il y a de plus sacré pour un homme, sa maison. L’expression « les murs ont des oreilles » nous sied encore à merveille. C’est ainsi. Nous avons un cerveau normalement constitué, nous ne sommes pas plus arriérés ni plus avancés que d’autres, mais nous sommes incapables de faire la nécessaire distinction entre nos intérêts légitimes et ceux de nos gouvernants. Ce fait est tellement installé dans notre subconscient que c’est devenu un affront permanent à notre intelligence.
Les Marocains croient avoir besoin d’un homme providentiel qui prend des décisions providentielles, alors qu’ils devraient exiger des institutions qui n’ont rien à voir avec la Providence et beaucoup avec un Etat de droit où chacun, même le roi, doit jouer un rôle clairement défini par une Constitution démocratique. Comment, enfin, peut-on croire qu’un seul homme qui, pour gouverner, fait appel à ses ancêtres, à la religion, aux traditions ou à l’Histoire, est la meilleure réponse à nos attentes ? La logique ne veut-elle pas que nous ayons plutôt besoin d’hommes démocratiquement élus qui gouvernent en utilisant leurs connaissances et expériences, et qui ont conscience que leur pouvoir peut être court ou pérenne selon le verdict des urnes ?
Et il est paradoxal de constater que ceux qui font leur cette analyse, en particulier les Français, les voisins espagnols et les lointains Américains (avant et avec Obama), ceux-là mêmes qui tiennent bec et ongles à leurs institutions et à leurs chères libertés, veulent nous garder en cage et nous pressent, indirectement bien entendu, de rester sages et d’accepter d’être gentiment conduits par le prince. Constamment et indéfiniment, puisque, croient-ils, ce type de régime autoritaire, théocratique, peu démocratique, etc., est le meilleur remède à nos maux. Nous ne serions pas prêts pour la démocratie, se lamentent ces hypocrites. Mais enfin, de quoi ont-ils peur ? Que nous commencions à penser par nous-mêmes ? A nous émanciper ? Que nous trouvions des solutions à nos besoins, matériels et autres ? Que veulent-ils, enfin, ces lointains Occidentaux ? On a du mal à croire qu’ils veulent que notre région continue à être la grande fabrique d’extrémistes – qui se nourrissent, justement, des dictatures, des injustices faites aux gens et du manque de liberté criant qui sont notre pain quotidien.
le dirigeant non elu par son peuple a travers des election democratiqe libre né qe escrot et dictateur
je te salu marouane
et je salu les autre qui on compris
bien qe je doute qe ce charlot de rois fasse cet mise en scene encore une fois pendant le ramadan , car son spitch et devenu trop grillé
« Ya ma Ya ma » Allah ya3tina baraktek….ou tnejji ElFakeer…
La part d’ombre du « roi des pauvres »
Par Antoine MALO, à Sidi Slimane
La cérémonie, à n’en pas douter, sera fabuleuse. De celles que seuls les royaumes séculaires peuvent encore offrir. Une fête de plusieurs jours, à Tanger, disent les dernières rumeurs, où des millions de dirhams vont être dépensés. Et où tout ce que le royaume compte d’important se pressera. Jeudi, le Maroc fêtera les dix ans de règne de Mohammed VI. Comme à chaque bey’a (cérémonie de l’allégeance), les sujets s’inclineront au passage du monarque et de son cheval. Plus tard, ils viendront lui baiser la main ou l’épaule, c’est selon. Comme ils le faisaient au temps de son père, Hassan II.
Mohammed VI pèse à lui seul 6% du PIB marocain.
Pour le moderne Mohammed VI, aujourd’hui âgé de 46 ans, cette cérémonie relève-t-elle du simple respect du protocole? Est-elle une pesanteur de plus pour cet amateur de Jet-Ski et de grosses cylindrées? Pas tout à fait. Le descendant de la dynastie alaouite assume les vieilles traditions royales. Ainsi que certains privilèges, comme celui qui fait de lui l’homme le plus riche du royaume.
Car Mohammed VI n’est pas seulement le « commandeur des croyants », le maître absolu en son royaume. Il est aussi le chef d’entreprise le plus puissant du pays. Par l’intermédiaire de la holding Siger (anagramme de regis, « du roi » en latin), le palais contrôle les secteurs clés de l’économie marocaine: construction, agriculture, banques. A lui seul, Mohammed VI pèse 6% du PIB du pays, ce qui fait de lui la septième fortune royale au monde, selon le magazine Forbes.
Les exclus de la « rupture »
Drôle de paradoxe pour celui que l’on a appelé à ses débuts « le roi des démunis » et qui, en 2005, lançait une grande Initiative pour le développement humain (INDH) afin d’éradiquer la pauvreté. Situation étrange pour celui qu’on annonçait comme le roi de la rupture, celui qui allait mettre fin aux prébendes pour les courtisans du Palais et surtout faire profiter le plus grand nombre des richesses du pays.
Certes, « M6″, en poursuivant les réformes engagées par son père, a ouvert et transformé le Maroc. Il a développé tourisme, bâtiment, télécommunications et a lancé une politique de grands travaux, notamment pour désenclaver le nord, laissé à l’abandon par Hassan II. Il a multiplié par deux le taux de croissance (environ 5% chaque année). Il a également accordé plus de liberté, notamment à la presse. « Incontestablement, le champ des possibles s’est élargi », résume Karim Boukhari, directeur de la revue TelQuel.
Mais pas pour tout le monde. Car la majorité des Marocains vivent encore comme si rien n’avait changé. Au classement du développement humain établi par l’ONU, le pays pointe au 126e rang. Une classe moyenne digne de ce nom peine toujours à émerger. Et 40% de la population reste analphabète. Comment expliquer ce retard? Pourquoi Mohammed VI peine-t-il à transformer socialement son pays, lui, le patron efficace, qui, selon la presse locale, aurait multiplié le chiffre d’affaires de son groupe par 10 en dix ans? « Les chantiers qu’il a initiés sont très lourds, explique le politologue Mohammed Darif. La population en attend beaucoup, mais elle ne voit rien arriver. »
Faire un tour à Sidi Slimane permet de mesurer la frustration. Cette ville est théoriquement située à une heure et demie de train de la capitale, Rabat, quand le tortillard ne connaît pas de retard, autant dire jamais. La commune appartient à la région du Gharb, le grenier à blé du pays, même si, en cette fin juillet, balayé par un vent brûlant, l’endroit ressemble surtout à une de ces plaines desséchées du Far West.
Le bakchich reste monnaie courante
L’hiver dernier, le Gharb a connu des inondations sans précédent. Plusieurs milliers de familles ont perdu leur habitation. A l’entrée de Sidi Slimane, dans un quartier insalubre que le plan « villes sans bidonvilles » était supposé faire disparaître, des vestiges de la catastrophe sont encore visibles. Des tas de terre, autrefois murs des maisons, bordent l’oued qui a débordé en février. L’endroit est devenu un dépotoir, jonché de sacs plastiques et d’oranges pourrissant au soleil. « Ma maison était là, explique un jeune montrant un monticule de terre. Normalement, je devrais recevoir 30 000 dirhams [un peu moins de 3000 euros] pour reconstruire ailleurs. On m’a donné un terrain mais je n’ai toujours pas l’argent. » « Moi, je n’ai rien reçu. De toute façon, les autorités ne s’occupent jamais de nous ou alors il faut payer pour qu’elles fassent quelque chose », s’indigne un vieillard devant sa maison branlante. La corruption, que « M6″ s’était juré d’éradiquer, a encore de beaux restes. Et la lourdeur de l’administration, aux mains de petits potentats locaux, ralentit l’application de décisions prises par le Palais.
Mais cela n’explique pas tout, notamment la situation de ces habitants du douar d’El Hasnaoui, à une vingtaine de kilomètres de Sidi Slimane. Plusieurs d’entre eux ont aussi vu leur maison emportée par les flots cet hiver. « Pour l’instant, je vis avec ma femme chez ma mère », explique Ahmed, assis en tailleur aux abords d’une route défoncée. Mais, même en temps normal, la situation du jeune homme n’est guère reluisante. Comme la plupart des hommes ici, il a très vite arrêté l’école. Aujourd’hui, il est journalier et travaille pour de gros propriétaires terriens. « C’est dur et l’on ne gagne pas grand-chose », explique l’un de ses amis, montrant la paume de ses mains, morceaux de cuir noircis.
Des intérêts économiques partout dans le pays
Certains possèdent des lopins de terre où ils cultivent de la betterave. « Mais la sucrerie nous achète le kilo seulement 20 centimes de dirham. Ce n’est pas assez pour vivre. » Les paysans disent l’ignorer, mais l’une des usines à qui ils revendent leur production appartient à Cosumar, elle-même propriété… du roi. « C’est un exemple de sa mainmise sur l’économie, assure l’économiste de gauche Mehdi Lahlou. Le roi a des intérêts économiques importants partout dans le pays, ce qui peut faire douter de certaines décisions politiques qui ont été prises, comme celle sur l’exonération fiscale du secteur agricole jusqu’en 2013. » Et de poursuivre: « En fait, en dix ans, le pays s’est peut-être enrichi mais il n’y a pas eu de politique fiscale qui permettrait une redistribution de ces richesses. »
Pour faire bouger les choses, certains plaident en faveur d’une modification de la Constitution: « Tant que le Maroc sera une autocratie, où pouvoirs judiciaires, législatifs ou économiques sont entre les mains du roi, on ne pourra pas espérer voir la situation changer, s’enflamme Amine Abdelhamid, vice-président de l’AMDH (Association marocaine des droits de l’homme). Le développement humain passe par la démocratie. » Pour cela, il faudrait rompre avec les vieilles traditions marocaines. Que Mohammed VI respecte pour l’instant à la lettre.
Après la distribution de la Harira , ça serait le tour des moutons et après les cartables , mais quel malheur !
Parsi politiques qui ne servent à rien et un Monarque qui tient tous les marocains par les couilles , Drole de pays !
mon père et ma mère sont de la descendance de Idriss ben Idriss, je peux dire à celui qui distribue cette harira qu’il la boit seul et le reste le verse sur sa jolie tête qui deviendra chauve pour trés bientôt.
LE MAROCest devenu le TROUE DE CUL DU MONDE OCCIDENTAL TOUT EST PERMIS PAR son makhzen……CONTUNUER …..a dire se qui ne va pas . merci !
salut mes amis tous les marocaines vont soufrire avec lahrira
que dites vous si tes parents sont des pauvres soldat? leurs parents ne laisse rien pour eux ils ont obliger d’etre des soldats pour vivre
leurs vie est trés simple vous connaisser touse la solde d’un soldat c’est moin le smig +de presence 24/24 toutes la famille vies en depression qe faut-il faire guides les soldats de votre payer….