«Nous sommes devant une catastrophe politique renouvelée et une crise de conscience plus profonde qu’en 2009». Ce cri d’alarme émane de l’INPBM. Après l’Organisation marocaine des droits humains, le tissu associatif d’observation des élections, le Forum civil démocratique et le CMDH, c’est au tour de l’Instance nationale de protection des biens publics au Maroc (INPBM) de braquer les projecteurs sur les violations et irrégularités à grande échelle ayant marqué
il se souvient avec précision du jour où il a quitté le Maroc pour les Pays-Bas. C’était le 17 octobre 1976, à 9 h 30. Ahmed Aboutaleb avait tout juste 15 ans. Il laissait derrière lui son village déshérité de Beni Sidel, dans le Rif. Son grand-père était mort et le jeune homme s’en allait, avec sa mère et ses cinq frères et soeurs, rejoindre La Haye où son père, l’ancien imam du village, avait trouvé un poste d’ouvrier d’entretien. « La migration c’est sans pitié, terriblement difficile ; cela exige un prix incroyablement élevé », déclarait-il sobrement à un journaliste du Volkskrant d’Amsterdam, en 2004.
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Naissance à Beni Sidel (Riff – Maroc).
1976
Arrivée aux Pays-Bas.
1987
Obtient un diplôme d’ingénieur électronicien.
1998
Directeur de Forum, institut pour le développement multiculturel.
2004
Adjoint au maire d’Amsterdam.
2007
Secrétaire d’Etat aux affaires sociales.
2009
Est élu maire de Rotterdam.
Sur le même sujet
Edition abonnés Fiche pays : Pays-Bas
C’était l’époque où celui qui est devenu, il y a quelques mois, le bourgmestre (maire) de Rotterdam acceptait de parler – un peu – de lui. Depuis, Ahmed Aboutaleb observe une très grande réserve.
Sa vie professionnelle et sa carrière politique sont toutefois placées sous le signe, très néerlandais, de l’efficacité. « Je n’ai pas tendance à idéaliser ma jeunesse, je sais ce que j’ai laissé derrière moi : LA Misere », expliquait-il, en octobre 2008.
la raison pour laquelle il est le 7e plus riche au monde….
Comme il est beau le makhzen !!!!!!!!!!!
«Nous sommes devant une catastrophe politique renouvelée et une crise de conscience plus profonde qu’en 2009». Ce cri d’alarme émane de l’INPBM. Après l’Organisation marocaine des droits humains, le tissu associatif d’observation des élections, le Forum civil démocratique et le CMDH, c’est au tour de l’Instance nationale de protection des biens publics au Maroc (INPBM) de braquer les projecteurs sur les violations et irrégularités à grande échelle ayant marqué
il se souvient avec précision du jour où il a quitté le Maroc pour les Pays-Bas. C’était le 17 octobre 1976, à 9 h 30. Ahmed Aboutaleb avait tout juste 15 ans. Il laissait derrière lui son village déshérité de Beni Sidel, dans le Rif. Son grand-père était mort et le jeune homme s’en allait, avec sa mère et ses cinq frères et soeurs, rejoindre La Haye où son père, l’ancien imam du village, avait trouvé un poste d’ouvrier d’entretien. « La migration c’est sans pitié, terriblement difficile ; cela exige un prix incroyablement élevé », déclarait-il sobrement à un journaliste du Volkskrant d’Amsterdam, en 2004.
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Naissance à Beni Sidel (Riff – Maroc).
1976
Arrivée aux Pays-Bas.
1987
Obtient un diplôme d’ingénieur électronicien.
1998
Directeur de Forum, institut pour le développement multiculturel.
2004
Adjoint au maire d’Amsterdam.
2007
Secrétaire d’Etat aux affaires sociales.
2009
Est élu maire de Rotterdam.
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C’était l’époque où celui qui est devenu, il y a quelques mois, le bourgmestre (maire) de Rotterdam acceptait de parler – un peu – de lui. Depuis, Ahmed Aboutaleb observe une très grande réserve.
Sa vie professionnelle et sa carrière politique sont toutefois placées sous le signe, très néerlandais, de l’efficacité. « Je n’ai pas tendance à idéaliser ma jeunesse, je sais ce que j’ai laissé derrière moi : LA Misere », expliquait-il, en octobre 2008.