Maroc : Le makhzen promet une réponse rapide à la crise financière
7 10 2008Le Wali de Bank Al-Maghrib, M. Abdellatif Jouahri a affirmé que “Le Maroc n’est pas touché par la crise financière internationale”.
Tu l’as dit, bouffi !
le Wali ne voit pas de crise parce que a titre personnel il n’a jamais vu de crise de sa vie quelques soient les changements de la scene economique mondiale. IL va continuer a rouler sur une voiture de luxe gratuitement, se loger gratuitement, utiliser le telephone gratuitement, toucher un salaire faramineux. Evidement pour les gens comme Abdellatif Jouahri , il n y avait pas, il n y a pas et et il aura jamais de crise au Maroc.
sans commentaire , le votre et largement suffisant pour expliqué la mentalité et letat desprit de ces bouffon egoiste qui pense qa leur geuelle.
ces bande dabrutie .
mais je leur dis a cela votre heure a sonné .
vous payer rien pour attendre .
Selon une note publiée par le Centre marocain de conjoncture (CMC), le Maroc perdra certainement de 1,5 à 2 points de croissance suite à la crise financière que connait le monde actuellement.
« Cette perte s’accompagnerait d’une détérioration sensible des équilibres financiers interne et externe. L’affaiblissement de la demande extérieure dans un contexte inflationniste contribuera à l’alourdissement du déficit commercial qui a déjà franchi au terme des sept premiers mois de l’année le seuil de 80 milliards de dirhams », précise le CMC pour qui « le repli attendu de la croissance devra aussi se traduire par une pression plus forte sur les ressources de l’Etat qu’impliqueront les programmes de soutien au pouvoir d’achat et à l’activité au moment même où les recettes marquent un certain essoufflement ».
L’inflation au Maroc devrait franchir les 4,5% pour la première fois depuis plusieurs années. Les activités les plus visées par la crise sont le transport, l’hébergement, et la restauration.
Cette note intervient alors que le makhzen a appelé ce mardi les représentants des banques centrales et des instituts d’émission arabes de faire preuve de « prudence accrue » face à la crise financière internationale.