Dans le Dahir de 2001, dont les dispositions sont conformes aux Principes de Paris, les attributions du CCDH ont donc connu un élargissement considérable pour s’étendre notamment :
à l’élaboration d’un rapport annuel sur l’état des droits de l’Homme ;
(Pourquoi ne pas se baser sur le rapport TRES CLAIR d’Amnesty international ?)
aux recommandations concernant l’harmonisation des textes nationaux avec les conventions internationales que le Maroc a ratifiées ou auxquelles il a adhéré ;
à l’encouragement de la ratification ou l’adhésion du Royaume aux autres conventions ou traités internationaux des droits de l’Homme ;
à l’examen des cas de violation des droits de l’Homme et la formulation des recommandations qui s’imposent à l’autorité compétente ; (C’est pour quand l’examen des emeutes de Sidi Ifni ?)
à la contribution à la diffusion et à l’enracinement de la culture des droits de l’Homme …
Pour ce qui concerne l’indépendance de l’Institution, elle a été renforcée, compte tenu notamment :
des conditions individuelles nécessaires au choix de ses membres (IMPARTIALITE, probité morale, compétence intellectuelle, attachement avéré aux droits de l’Homme et contribution incontestable à leur consolidation) ;
Mr Chakib Benmoussa est membre du comité exécutif du groupe ONA et administrateur directeur général du groupe Brasseries du Maroc.
Le 11 décembre 2002, il a été nommé Wali, secrétaire général du ministère de l’Intérieur.
Le 15 février 2006, M.Chakib Benmoussa, est nommé ministre de l’intérieur
Ou est la logique quand le ministre de l’intérieur (dans un ministère connue mondialement par l’abus des droits de l’homme) est aussi membre d’un conseil des droits de l’homme ?
CCDH
Dans le Dahir de 2001, dont les dispositions sont conformes aux Principes de Paris, les attributions du CCDH ont donc connu un élargissement considérable pour s’étendre notamment :
à l’élaboration d’un rapport annuel sur l’état des droits de l’Homme ;
(Pourquoi ne pas se baser sur le rapport TRES CLAIR d’Amnesty international ?)
aux recommandations concernant l’harmonisation des textes nationaux avec les conventions internationales que le Maroc a ratifiées ou auxquelles il a adhéré ;
à l’encouragement de la ratification ou l’adhésion du Royaume aux autres conventions ou traités internationaux des droits de l’Homme ;
à l’examen des cas de violation des droits de l’Homme et la formulation des recommandations qui s’imposent à l’autorité compétente ; (C’est pour quand l’examen des emeutes de Sidi Ifni ?)
à la contribution à la diffusion et à l’enracinement de la culture des droits de l’Homme …
Pour ce qui concerne l’indépendance de l’Institution, elle a été renforcée, compte tenu notamment :
des conditions individuelles nécessaires au choix de ses membres (IMPARTIALITE, probité morale, compétence intellectuelle, attachement avéré aux droits de l’Homme et contribution incontestable à leur consolidation) ;
Mr Chakib Benmoussa est membre du comité exécutif du groupe ONA et administrateur directeur général du groupe Brasseries du Maroc.
Le 11 décembre 2002, il a été nommé Wali, secrétaire général du ministère de l’Intérieur.
Le 15 février 2006, M.Chakib Benmoussa, est nommé ministre de l’intérieur
Ou est la logique quand le ministre de l’intérieur (dans un ministère connue mondialement par l’abus des droits de l’homme) est aussi membre d’un conseil des droits de l’homme ?