Maroc :le cri des opprimés marocains
27022008 Commentaires : Aucun commentaire »Catégories : La face cachée
kalifa ( vice ) du sultan mouley hassan ben mahdi
mokri -vizir du trone
mohamed torres vizir des affaires èxtèrieures
mohamed MOKRI grand vizir sous le règne de 5 sultans
tayeb mokri pacha de casablanca
Conseil des vizirs avec Le sultan Sidi Mohamed
Des caids marocains avec des chefs de cercles français
Chouaib Doukali ministre de la justice 1912
glaoui et aissa benomar
caid bassou mouha ousaid des ait ouirra
caid Abdeslam des Beni ouriaghal
haj houcine khalifa de tin mil
notables de settat
glaoui et son khalifa hamou
pacha de fez
caid ben brahim caid de ganfouda
caid de tanger
caid ben brahim caid de ganfouda
haj torres / visir gnous / aff.èx tèrieures
caid mtougui / caid essaouira
caids du sud /glaoui au centre
caid tomboi / caid mhalla
caid boubker / casa
Depuis la nuit des temps le makhzen
pue la trahison
pue la mort et les massacres
pue la torture et les viols
pue le trafique de drogue
pue le racket et la corruption
pue la dépravation
pue l’opulence criminelle
pue la répression
pue…
Bref ! Les clowns changent mais c’est toujours le même cirque.
Une pétition internationale en faveur de la dépénalisation de l’homosexualité consentie au Maroc a été lancée par deux organisations des droits de l’Homme américaine et marocaine après la récente condamnation de six personnes dans le nord du royaume.
Human Rights Watch (HRW) basée à New York et l’Association marocaine des droits humains (AMDH, indépendante) appellent le gouvernement marocain « à abroger la loi condamnant à des peines de prison des actes d’homosexualité librement consentis », dans un communiqué commun parvenu à l’AFP.
Les deux ONG « lancent une pétition pour la suppression de l’article 489 du code pénal marocain et demandent la libération des six personnes condamnées à la prison en raison de cette loi ». Elles invitent à « la signature de cette pétition partout dans le monde ».
L’article 489 condamne de six mois à trois ans de prison et à une amende de 200 à 1.000 dirhams (18 à 90 euros) toute personne convaincue d’avoir commis un acte d’homosexualité.
En décembre, la justice marocaine avait condamné à des peines allant de quatre à dix mois de prison six prévenus poursuivis pour homosexualité à la suite d’une fête privée en novembre à Ksar El Kébir (nord) qualifiée par la presse de « mariage gay ».
La police les avait arrêtés en novembre, après la diffusion sur internet d’une vidéo montrant une fête privée dans cette ville.
Quelques jours plus tard, une manifestation de protestation contre l’homosexualité à laquelle participaient de nombreux militants islamistes, avait conduit à des affrontements avec les forces de l’ordre et au saccage d’une bijouterie supposée appartenir à l’un des participants et du domicile de l’organisateur de cette fête.
Le 17 février, les islamistes du Parti de la Justice et du Développement (PJD) ont lancé, à partir de cette ville de 100.000 habitants dont ils dirigent la municipalité, une « campagne des valeurs et de la morale » qui doit se dérouler dans les principales villes du royaume.
AFP
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