Maroc:La censure et le terrorisme makhzenien
28 09 2007« L’écrivain et le journaliste marocain se croient et se disent libres. Ils ne le sont pas. La liberté d’expression de leur pensée est limité par la volonté des dirigeants du journal ou de la revue ou de la maison d’édition.
Et ses dirigeants sont, soit des membres de la féodalité makhzeniene, soit ses employés. »
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