Maroc:Elections Législatives 7 Septembre 2007…. »Halte à la fraude électorale »
2 09 2007
Aucun? gouvernement ? marocain ne pourra tenir ses promesses, tout simplement parce qu’en acceptant les règles du jeu du makhzen, il sera contraint de faire la politique correspondant aux intérêts des véritables détenteurs du pouvoir !….
Ces élections,seront comme toutes les précédentes. La fraude les marquera une fois de plus. Ce qui est tout à fait logique dans un pays où une dictature mafieuse makhzeniene s’impose en usant de tous les moyens et de toute sa force à un peuple qui la vomit.
les resultats officielles apres 48 h! le temps bien sur de faire comme il faut les retouches necaissaires c’est vraiment revoltent;j’ai l’impression que ca ne changera jamais dans ce pays j’ai la rage et je suis tres en colére pauvre peuple marocain!
De prime à bord, je dois vous dire clairement que celui qui touche à la noble personne de SA MAJESTE LE ROI QUE DIEU LE GLORIFIE, à la noble dynastie ALAOUITE et aussi à la vrai histoire du Royaume du Maroc, c’est individu n’est qu’un pure batard qui n’a pas de patrie, il est regrettable de voir un autre état étranger lui accorder la nationalité, à des éléments nuisibles de ce genre, à l’avenir ils vont portés atteinte à la sécurité des états qui leurs ont heberger et leur ont accordés une nationalité on a vu le résultat dans plusieurs états d’ europe qui ont été touché par le terrorisme et les terroristes étaient toujours les batards qui ont profiter de l’hebergement et du droit à la nationalité de ces Etats.
Le Royaume du Maroc et la Monarchie Alaouite sont très connus à l’échelon international, leur souci majeur c’est le développement et le bien être des citoyens. Dès l’aube de l’indépendance FEU SA MAJESTE LE ROI SIDI MOHAMMED BEN YOUSSEF que Dieu bénisse son âme et l’heberge dans son vaste paradis à instauré la Monarchie Constitutionnelle, démocratique et sociale, Etat de droit.
S’il y a des abus de pouvoir, le disfonctionnement, la corruption c’est la faute des parties politiques qui forment le gouvernement et le parlement, ce sont eux les responsables de l’injustice, l’inégalité et la discrimination sociale et non pas SA MAJESTE LE ROI QUE DIEU LE GLORIFIE, le seul qui travaille conjointement avec des fidèles et loyaux collaborateurs qui font des efforts considérables pour le développement du Royaume du Maroc et d’assurer bonne vie au citoyens. j’invite ce vilain batard de fermer sa grande gueule.
VIVE SA MAJESTE LE ROI, VIVE LES LOYAUX SERVITEURS DU MAROC ET VIVE TOUS LES MAROCAINS. S.B.
Eh ben, mon vieux « Anonyme », il paraît que tu vis sur le Maroc de Mars. Le Maroc que je connais est loin de correspondre à ton Maroc où les Hauts Responsables oeuvrent (sic) pour le bien des citoyens.
Et tu l’écris pas mal ton « De prime à bord ». De prime abord, j’aimerais t’inviter « à bord » de la planète Terre, où les choses sont notoirement plus différentes que sur Mars.
Les réalistes sont des « batards » !! Les élections affirchent leurs résultats (trop) tard !! Et le Maroc continue de se taire !! Et les Marocains de subir le Tort !! Et moi de vivre sur Terre !! Et toi, l’anonyme, tu souffres sans l’ombre d’un doute d’une incurable tare !!
Sans rancune.
Le vulgaire propagandiste « anonyme » se démasque lui-même par ses propres propos! Tout le monde sait bien maintenant que le respåonsable du Mossad au Maroc – André Azoulay – (qui écrit et rédige tous les discours de sa marionnette et son perroquet Mohamed VI) a formé une celule constituée de 150 agents payés par le budget de l´État marocain et ayant commme seule mission de répondre, « online », sur Internet, à toute critique contre le régime alaouite juif par des insultes et par des défamations vulgaires ayant pour but de dissuader les dessidents et de donner l´imression que les marocains « adorent leur roi » et « detestent » ses opposants….! En fait Hassan II et son fils ne sont « adorés » qu´en Israel pour les « service » que leur dictature a rendu aux juifs!
Lisez, s´il vous plait, ce que l´opposant courageux Ahmed Rami a écrit dans son nopuveau livre intitulé:
« Hassan II, le fils de Glaoui et agent duMossad »
Et publié sur:
http://www.abbc.net/alaouites/hassan2/fils-de-glaoui.htm
« Le général Oufkir m´a, personnellement informé, le 10 octobre 1972 – au cour d’ une discussion sur la dynastie alaouite, ce qu´il a appris de Glaoui lui-même: que – Hassan II est, en fait, né d´une ancienne concubine (de mère juive) du Pacha de Marrakech qu´il a offert (enceinte de lui de six mois) à Mohamed Ben Youssef.
Hassan II est le fils biologique du grand traître Haj Thami l´Glaoui!
Les sultans alaouites ne célébraient pas leur mariage et ne le rendaient pas public. c´était des mariages morganatiques. La célébration se passait souvent à la naissance d´un enfant dont souvent on ne savait pas, avec certitude, qui en est le vrai père!
Ceux qui ont offert les concubines aux sultans, les marchands maquereaux qui les ont vendues ainsi que les esclaves de la « garde noire » peuvent souvent être les vrais pères des sultans « alaouires » bâtards.
Les sultans alaouites avaient souvent plusieures femmes « légitimes » et un grand nombre de concubines souvent offertes, en corruption, par des tribus ou achetées par l´intermédiaires de marchands juifs spécialisés en Europe.
Mohamed V – qui était un « coureur de jupons » et obsédé sexuel notoire – avait reçu du Glaoui, le bordelier de Marrakeche, durant plusieures années, tout un harem de concubines souvent d´origine juives ou africaines. D´ailleurs le premier mariage « officieux » de Mohamed V ne s´est pas déroulé à Rabat, la Capitale du Maroc, mais à Marrakech, « Capitale » de Glaoui, le 27 octobre 1926 avec une concubine de Glaoui « Abla » (aussi né d´une mère juive) et décèdée à Rabat le 1 er mars 1992.
Hassan II, lui aussi, a suivi la tradition féodale et jahilite de ses encètres « alaouites ». Mohamed, son fils aîné et l´actuel « roi » Mohamed VI, est né le 21 août 1963 à Rabat. Sa mère était « roturière » – selon le mythe alaouite – et n’a jamais reçu de titre, tout au plus était-elle l´une des « mères des enfants royaux »!
Qui est Glaoui?
Haj Thami L´Glaoui appartient au clan familial des Glaoui qui sont une « Dynastie » de caids qui a « régné » sur une partie plus ou moins étendue du sud du Maroc probablement depuis le début du XVIIIè siècle jusqu’en 1956.
La famille Glaoui construit sa réputation grâce au contrôle mafieux qu’elle exerçait sur la route qui lie Taroudant à Marrakech. Plusierurs tristement célébres « caïds » sont issus de cette famille. Le traître pacha de Marrakech, Thami Glaoui, s’illustre sous la colonisation par le soutien qu’il apporte à l´occupation étrangére de son pays. Il s’opposa à la résistance nationalistes et se ralia franchement aux occupants.
Madani Glaoui a été grand vizir (premier ministre) de Moulay Hafid depuis l’intronisation de celui-ci (dont Madani fut le principal artisan) en 1908 jusqu’à 1911.
Son cadet Thami – le père biologique de Hassan II – fut pacha de Marrakech (sorte de gouverneur sous l´autorité des occupants pour la moitié sud du Maroc) de 1912 jusqu’à l’ »indépendance ».
L’origine des Glaoui reste obscure; ils se sont même usurpé – comme les « alaouites » après coup, une ascendance « cherifienne »!
Thèse crédible : Fuyant les famines de l´AfriqueNoire l’ancêtre des Glaouis – comme celle de Ba Ahmed – se serait placé sous la protection d’un marabout local, aurait épousé la fille de ce dernier et hérité, à sa mort de sa « baraka » de la Zaouia et des biens affectés à son entretien notamment des salines sur l’oued Mellah. L’agurram (santon) devient ensuite amghar « Cheikh » (chef séculier désigné par ses contribules pour les representer auprès du Makhzen) et fait entériner sa position par Moulay Ismael qui le nomme à la tête des Glaoua (tribu du versant sud de l’Atlas) où il établit un souk (Khemis de Telouet) et un caravansérail. Il contrôle alors le passage des caravanes venant du Tafilalt et du Sahara (qui lui versent un droit de passage) et perçoit des taxes sur tous les produits vendus au souk et les revenus du caravanserail. En 1856 le commandement de ses successeurs est augmenté par Moulay Abderrahmane d’une tribu du versant nord de l’Atlas où il établit un second souk (El Had Zraqten, non loin de Telouet).
L’omnipotent Pacha El Glaoui Il a été bourreau des rebelles de l’Atlas, collaborateur de la France coloniale, ennemi juré des nationalistes et suppôt du sultan Fantoche Ben Arafa. Pure produit du système alaouite, il était tout cela à la fois dans le Makhzen à l’époque, mais comment y est-il parvenu ?
Les Glaoua, puissants guerriers – et comme les alaouites – bandits de grand chemin du Haouz, chefs de tribus Imzwarn, obtiennent de la France – avant même l’occupation – le statut de protégés. Après la destitution du sultan Abdelaziz, le caïd Madani El Glaoui (41 ans) est promu grand vizir, et son frère cadet Thami (28 ans) pacha de Marrakech.
Durant les premières années de la colonisation, le jeune Thami El Glaoui passe, aux yeux de Lyautey, pour le « pacificateur » des tribus rebelles du Sud. Il est le « dompteur » de dissidents comme El Hiba et l’auteur des campagnes décisives qui lui ont valu une série de médailles françaises qu’il arbore avec fierté et des dotations d’armes considérables. En 1918, alors que son frère meurt, Lyautey le nomme « chef de la famille », le réinstalle pacha de Marrakech et l’introduit auprès de personnalités françaises influentes, dont Philippe Pétain et Marcel Boussac. El Glaoui règne alors sur le Haouz. Telouet (jusqu’à Ouarzazate), est tenu par son neveu, le caïd Hammou. Après la mort de Hammou, en 1934, il y place son fils aîné, Brahim, né (justement) de sa concubine turque, Lalla Kamar Torkia. Entre temps, il sait se rendre utile, aux occupants, jusqu’au Rif, dépêchant en 1926 plus de 1000 soldats en expédition pour évincer Abdelkrim. Une année auparavant, rapporte Gavin Maxwell, il dira à Lyautey qui repart, « peu importe qui vous succédera, vous resterez toujours mon maître ». Il lui est reconnaissant, explique l’historien marocain, Kenbib, de « faire appel à lui pour faciliter la mise en place du protectorat et par là même conforter les structures traditionnelles du Makhzen » alaouite. Du statut de protégé des occupants, il devient – comme tout le makhzen alaouite – l’un des piliers de l’occupation coloniale.
Le butin de guerre d’El Glaoui provenant de ses pillages pendant ses attaques de »pacification » coloniales contre les tribus rebelles devient considérable. Le Glaoui devient alors un gros propriétaire terrien, avec le legs de dahirs (des lois) sultaniens et la bénédiction des occupants reconnaissant.
En véritable mafioso – bien avant qu’il devienne pacha, « personne ne pouvait vendre ses olives avant lui », rapporte Paul Pascon. Avec l’autorité sur la région et sur les terres Guich, il a multiplié les stratagèmes pour étendre son territoire : 5300 ha cédés par l’État à titre quasi gracieux, 5000 ha « extorqués » à son bras droit El Biaz à sa mort, des impôts dont il retenait une part régulière, des droits d’eau obtenus sans contre-partie, etc. Au bout du compte, rapporte Pascon, en 1929, son salaire ne représentait que 2% de ses revenus. « Il a monté son train de vie en tablant sur la permanence des revenus que lui rapporte l’exploitation intensive des tribus », note à l’époque le commandant Orthlieb. Le Glaoui devient actionnaire principal dans l’Omnium Nord Africain (ancêtre de l’ONA royale), mais aussi à la CTM. Dans le faste d’antan, raconte Mehdi Bennouna (fondateur de la MAP, cité par El Glaoui fils), « mon père a compté, à table, 17 plats pour chaque invité ». A l’époque, le sultan alaouite se contente d’apposer son sceau et signature sur les décisions des occupants, et le Pacha passe, au mieux, en ajoutant à sa signature: « le seigneur de l’Atlas » et, au pire, pour « le prédateur du Sud ».
El Glaoui aurait pu ne pas connaître une telle ascension si le caïd Mohamed Boucetta, son unique rival pour le pachalik de Marrakech, réputé plutôt vertueux, n’avait pas été assassiné en janvier 1920 par des hommes de main de Glaoui.
El Glaoui a également une identité de « grand bordelier » (expression de Charles André Julien et Jean Lacouture). Le titre, il le doit au quartier de maisons closes de Bab El Khemis à Marrakech qui contenait plus d’un millier de prostituées, dont il prélevait 25% des entrées. Pragmatique jusqu’au bout, le Glaoui.
Le fait que son beau père et grand vizir, El Mokri, lui ait signifié, lui « le serviteur du Makhzen », qu’il n’était plus le bienvenu au Palais l’aurait mis (subitement) en rogne. Enfin, le fait que le maréchal Juin l’ait « remonté contre le roi qui joue l’Istiqlal contre les serviteurs classiques du Makhzen » l’aurait convaincu de la nécessité de comploter contre lui (comme le fit son frère, Madani, contre le sultan Moulay Abdelaziz).
Outre ses actions dans le groupe de la presse de l’occupation Mass, le Glaoui entretenait moult journalistes étrangers à sa solde. Lorsqu’en 1932, Gustave Babin signe un brulôt qui le démasque, intitulé « Son excellence », il envoie un plaidoyer autant au sultan qu’au résident général pour s’en dédouaner.
El Glaoui se prend même pour le prince à la place du prince. Profitant de sa relation privilégiée avec Winston Churchill, il tente d’envoyer à la reine d’Angleterre un cadeau en émeraudes à l’occasion de son mariage en 1952, mais on lui fait savoir qu’il n’était pas un chef d’État. L’épisode, commente Kenbib, montre « la maladresse du pacha une fois sorti du pays ». Mais elle montre aussi la mobilité et la notoriété surdimensionnée du personnage. Lucide mais aussi rongé par un cancer de plus en plus déclaré, il comprend tardivement que la soumission inconditionnée au couple Juin-Guillaume, a été la mauvaise carte à jouer. Le résident général Grandval l’ignorant, Mendès France refusant de le recevoir, les libéraux (pour l’indépendance et le retour du roi) ayant de plus en plus d’appuis à Paris, El Glaoui devient en octobre 1955 « un anachronisme ».
26 octobre 1955. Les traîtres marionnettes du Makhzen se retrouvent et se réconcilient ! Rabat. El Glaoui se fait petit devant le conseil de régence. Quinze jours plus tard, il se prosterne devant le sultan revenu au château St Germain-en-Laye. Alors que le alem dissident, Kettani, n’est pas reçu, le pacha traître est absout. Il meurt peu après, comme si « sa vie s’est confondue avec celle du protectorat », commente judicieusement Kenbib. »
/…./
La suite sur:
http://www.abbc.net/alaouites/hassan2/fils-de-glaoui.htm
—————————————–
Hassan II, Agent duMossad
http://www.abbc.net/alaouites/hassan2/agent-du-mossad.htm
Selon les documents des « Archives Nationales » d’Israël récemment ouvertes au publique,
et selon les révélations faites par Nahum Goldman (ancien président – en même temps, pendant plus de vingt ans – du Congrès Juif Mondial et de l’Organisation Sioniste Mondiale) dans son livre « Le paradoxe juif » ,
et selon les révélations de Mohamed Hassanein Heikal dans un article publié dans la revue libanaise « Achiraa »,
et selon les révélations du professeur Israël Shahak dans son livre « The open secrets »:
le despote Hassan II n’a – en réalité été qu’un vulgaire espion au service du Mossad juif israélien!
L’ironie du sort est qu’il y a même eu, en secret, – comme on vient de l’apprendre – une une parallèle concurrence et une précipitation – « Harouala » – entre le gauchiste enjuivé caviar Ben Barka et la crapule despote Hassan II pour servir Israël et le Mossad: le premier pour s’emparer du pouvoir, le deuxième pour « l’éternellement » conserver!Et puis il y a aussi le « bourgeois » istiqlalien Balafrej qui s’est aussi volontairement mis aux service du Mossad juif.
###
Dès le début des années 60, Hassan II et les services secrets israéliens ont tissé des liens. Ils débutèrent avec la question de l’exode des juifs marocains vers Israël pour s’étendre à une coopération plus étroite.
L’ histoire des relations entre l’un des services secrets les plus criminels du monde, le Mossad israélien, et le Hassan II remonte aux premières années de l’indépendance du Maroc.
A l’époque, Israël, « état » bandit colonial façonné par la mafia juive mondiale au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, recherche à tout prix des moyens de survivance dans un environnement résistance arabe en ébullition et forcément hostile.
L’Etat bandit est conscient que son avenir dépend avant tout de sa démographie et de sa capacité à entretenir des relations stratégiques avec nombre de dirigeants traîtres des pays arbo-islamiques. Hassan II correspond aux desseins des sionistes.
Selon le juif Agnès Bensimon, auteur du célèbre « Hassan II et les Juifs », c’est parce que les services secrets israéliens ont fourni des renseignements très précis quant à un complot visant à tuer le prince héritier en février 1960 que les relations entre le Maroc et Israël ont débuté.
Mais, pour l’historien juif Yigal Bin-Nun, c’est en 1963 que la coopération officielle entre les deux pays a commencé.
Quel intérêt pour Hassan II ?
La rencontre est arrangée en février 1963 chez Benhamou lui-même, rue Victor Hugo à Paris, entre l’agent Yaakov Karoz et le représentant de Hassan II.
Les relations entre Hassan II et Israël deviennent dès lors officielles. Hassan II craignait que son trône ne soit menacé par le panarabisme. Pour mieux servir le Mossad, Il faisait mine de sympathiser avec la vague nassérienne qui submergeait le monde arabe ; en réalité, il le faisait pour ne pas se laisser distancer par l’ »opposition ».
Selon l’ ancien agent du Mossad, Yigal Bin-Nun, Hassan II a voulu se rapprocher d’Israël parce qu’il était attiré par ce qu’on appelait alors le « miracle» de l’occupation juive, comme – auparavant – il a été fasciné par le l’ occupation française au Maroc .
Beaucoup de petits despotes – tel que Hassan II – nostalgiques du colonialisme, de la loi da jungle, de l’occupation et de grand banditisme à grand échelon royal, étaient fascinés par la capacité ce petit Etat criminel bandit à écraser toute résistance et à «fleurir le désert», selon l’expression consacrée.
L’inexistence des relations israélo-arabes était propice à un rapprochement entre Hassan II et les dirigeants israéliens, d’autant plus que Ben Gourion avait décidé d’opter pour la politique dite des Etats périphériques : il fallait développer une ceinture d’Etats vassales lointains mais dociles.
L’intrusion du Mossad au Maroc s’est faite par des voyages clandestins de nombreux agents du Mossad et de leur chef Isser Harel, entre 1958 et 1960.
Le premier eut lieu le 1er septembre 1958. Les autorités de Hassan II gardèrent cette visite dans un secret total, préparant ainsi le terrain à « l’accord » conclu entre le Palais et Israël favorisant l’exode des Juifs du Maroc pour aider Israël dans son occupation à mieux vaincre démographiquement ses victimes Palestiniens Musulmans et Chrétiens.
Les officiers et agents de Hassan II se rendirent clandestinement en Israël et des politiques et militaires israéliens firent durant de longues années le chemin inverse.
Les archives nationales d’Israël regorgent de documents historiques qui retracent ces liens. Hassan II a souvent demandé aux Israéliens de les renseigner sur les Etats arabes favorables à un renversement de la monarchie alaouite.
Israël a aussi soutenu Hassan II dans sa « Guerre des Sables » avec l’Algérie en lui livrant des blindés. Des officiers de Tsahal et du Mossad ont formé et encadré la jeune armée royale et les services de sécurité dont le célèbre Cab-1, l’embryon de la DST.
En retour, et malgré l’envoi – en guise de camouflage – de troupes au Golan jugé « anecdotique », Hassan II n’a eu de cesse de « normaliser » l’existence de l’Etat d’ occupation juif auprès du monde arabe, en jouant par exemple un rôle capital dans l’accord de capitulation et de la neutralisation de l’Egypte qui coûta la vie au traître Anouar Sadate, ou encore d’ouvrir à Rabat et à Tel-Aviv des antennes diplomatiques.
Jusqu’aujourd’hui Israël a continue à aider « technologiquement » le régime alaouite pour se maintenir au pouvoir.
……
Le secret et les tabous ont toujours entouré les relations entre la monarchie au Maroc et l’Etat d’occupation Israël. Leurs liens sont souvent passés sous silence. Pourtant, ils existent bel et bien… Drôle de jeu auquel ils se livrent. Un couple qui semble avoir fait sien l’adage « pour vivre heureux, vivons cachés ».
Dernière polémique en date, les accusations portées à l’encontre du maire de Marrakech, Omar Jazouli, affirmant que ce dernier aurait signé un accord de coopération, le 22 février 2007 à Marseille, avec le maire de la ville israélienne de Haïfa, Yona Yahav. Le gran quotidien marocain Attajdid a carrément lancé un appel implicite à l’intifada.
Arguant des exactions croissantes des Israéliens contre les Palestiniens, les Islamistes marocains refusent toute normalisation avec l’Etat hébreu. Et ce ne sont pas les seuls.
Dès lors qu’il s’agit de l’Etat d’occupation juif occupante et usurpateur, en tant qu’entité politique, aucune des personnes concernées n’admettra publiquement et ouvertement avoir un lien, de quelque nature que ce soit, avec Israël.
Et pour cause. Entre un conflit – relatif à l’occupation juive de la Palestine, entre juifs occupants d’un coté et musulmans et chrétiens résistants de l’autre – vieux de plus de près de 60 ans, un islamisme résistant, des peuples arabo-islamiques se développe rapidement et le contexte pour le régime de Hassan II – qui continue sans lui – ne se prête pas vraiment à la franchise.
Pourtant, Mohamed VI et le Mossade continuent à entretenir des relations très étroites.
Visites de ministres israéliens au Maroc, travail de lobbying auprès de la communauté internationale…
Sur le plan diplomatique, Mohamed VI [en tant que "président du Comité Al Qods"!!!] – qui a hérité de son père cette relation « amoureuse » et illégitime avec le Mossad – affiche ainsi de manière plus ou moins ouverte, en fonction de la situation en Palestine, au Moyen-Orient et de la conjoncture politique internationale en général, sa volonté de « normaliser » ses relations avec Israël qui ne sont déjà que plus que normales! Le « bon élève » Mohamed VI est tout sauf désobéissant aux directives de ses maîtres juifs.
…….
Sur le plan commercial, les relations alaouites-israéliennes semblent poursuivre paisiblement leur petit bonhomme de chemin, narguant la colère du peuple marocain. On estime à plus d’une centaine les entreprises israéliennes opérant plus ou moins au grand jour sur le territoire marocain, notamment dans le domaine agricole.
Et les entrepreneurs israéliens défricheraient le terrain pour leurs compatriotes diplomates juifs.
Côté israélien, les derniers chiffres publiés par The Israeli Export and International Cooperation Institute font état, pour le premier trimestre 2006, de 46 firmes israéliennes qui auraient exporté au Maroc pour un total de 2 millions de dollars, soit une augmentation de 23,5% des exportations par rapport à la même période en 2005.
Business is business, a-t-on coutume de dire dans la tradition alaouite enjuivée.
La communauté juive au Maroc ne compte plus aujourd’hui que 4.000 membres concentrés essentiellement à Casablanca.
Cette communauté est pour beaucoup dans les liens actuels, et pas seulement économiques, entre les deux pays.
Si André Azoulay est le plus connu des agents du Mossad au Maroc, il y a aujourd’hui des milliers d’agents secrets du Mossad qui travaillent activement au Maroc pour asseoir et encrer le pouvoir juif au sur notre pays occupé dans tous les domaines et secteurs de notre vie politique, économique, culturelle et sociale. A notre époque de l’Intrnet le site « www.dafina.net » (qui se définit comme le net des Juifs du Maroc), est le filet électronique que le Mossad utilisent pour le recrutement des jeunes recrus marocaines marocains aux service d’Israël: en commençant à leur faire écumer les célèbres boîtes de nuit de Tel-Aviv et avec l’aide de quelques « agences de voyage » du Mossad, à Casablanca notamment, qui proposent discrètement à leurs clients des séjours tous frais compris à partir de 10.000 dirhams. Le statut et le réseau social de ces « touristes » marocains d’un nouveau genre leur facilite également l’entrée sur le territoire palestinien occupé.
Certains « Marocains » choisissent même de s’installer dans l’Etat d’occupation juive. Ainsi, c’est avec une note de suffisance non dissimulée que le quotidien israélien Yediot Aharonot, sous la plume de Yaakov Lappin, rapporte dans l’édition du 21 février 2007 l’histoire de Fayçal. G, un jeune Casablancais de confession musulmane résident à Tel-Aviv. Fayce -pseudonyme choisi pour l’occasion- serait arrivé en Israël en 1997 pour étudier à l’Université de Tel-Aviv après des études secondaires dans un lycée juif de Casablanca.
Fayçal travaille actuellement pour une société de NTIC à Tel Aviv et se dit déterminé à renouveler son visa étudiant – expiré voilà deux ans – malgré les réticences du ministère de l’Intérieur israélien.
L’histoire de Fayçal, racontée en intégralité par Béni Issembert, un journaliste israélien d’origine française, a été publiée en France aux Editions Ram sous le titre « Fayce, le Je de la paix »!!!! produit du régime alaouite!
Ici et là, des supports de presse rapportent quant à eux des expulsions de prostituées marocaines musulmanes d’Israël qui y vendraient clandestinement leur chair le soir après leur journée de travail dans des usines et des ateliers.
L’association islamiste Mouvement Unicité et Réforme (MUR) dénonce carrément une « filière de prostitution marocaine en Israël ». Réseau mafieux qui, selon une organisation djihadiste palestinienne, emploierait près de 600 jeunes filles maroco-musulmanes dans des villes israéliennes et des colonies juives, notamment en Cisjordanie.
Le « scoop » a même été repris par le quotidien arabe londonien Al Quds Al Arabi.
Voilà à quelle honteuse et humiliante situation ce régime « alaouite » juif nous a mené.
En 1956, le sultan Mohamed V sacralisé par les juifs, est de retour. “pas un seul ministère ne se constitue sans un juif” rappelle Serge Berdugo, l’exemple le plus significatif étant celui du Dr Benzaquen. Des juifs sont à l’Assemblée constituante, à l’OCP, dans les partis nationalistes.
1956 l’activisme du Mossad est relançé . Robert Assaraf le rappelle, c’est sous l’ombrelle des services israéliens que Mohamed Laghzaoui, alors chef de la Sûreté nationale, signe avec le représentant au Maroc du Congrès juif mondial un accord organisant exode des juifs vers la Palestine occupée.
Ayant soutenue activement l’occupation colonialiste française, les juifs sont pris de panique à l’aube de l’indépendance et leur exode vers la Palestine occupée fut exacerbée par l’adhésion du Maroc, en 1958, à la Ligue arabe et à son très explicite corollaire, le Bureau de boycott arabe contre Israël. Car les juifs ont peur d’un Maroc indépendant et appartenant à sa nation arabo-islamique. Ils sont pour un Etat JUIF dans une Palestine qu’ils occupent et contre un Etat ISLAMIQUE libre dans un Maroc libéré!
…..
En 1956, le sultan Mohamed V sacralisé par les juifs, est de retour. “pas un seul ministère ne se constitue sans un juif” rappelle Serge Berdugo, l’exemple le plus significatif étant celui du Dr Benzaquen. Des juifs sont à l’Assemblée constituante, à l’OCP, dans les partis nationalistes.
1956 l’activisme du Mossad est relancé. Robert Assaraf le rappelle, c’est sous l’ombrelle des services israéliens que Mohamed Laghzaoui, alors chef de la Sûreté nationale, signe avec le représentant au Maroc du Congrès juif mondial un accord organisant exode des juifs vers la Palestine occupée.
Ayant soutenue activement l’occupation colonialiste française, les juifs sont pris de panique à l’aube de l’indépendance et leur exode vers la Palestine occupée fut exacerbée par l’adhésion du Maroc, en 1958, à la Ligue arabe et à son très explicite corollaire, le Bureau de boycott arabe contre Israël. Car les juifs ont peur d’un Maroc indépendant et appartenant à sa nation arabo-islamique. Ils sont pour un Etat JUIF dans une Palestine qu’ils occupent et contre un Etat ISLAMIQUE libre dans un Maroc libéré!
…..
Selon Simon Lévy l’arrivée au Maroc de Nasser, lors de la Conférence africaine de Casablanca en 1961, déclencha une vague de panique parmi les juifs restés au pays, qui s’enferment dans leurs mellahs.
Selon Simon Lévy, Misgueret (organisation clandestine fondée par le Mossad) organisa avec la collaboration personnelle de Hassan II l’ attribution des passeports collectifs qui sont distribués directement à l’Agence juive, bateaux de la Comanav, cars de la CTM et avions de la RAM étant réquisitionnés la nuit ou hors des heures de service normal. “Beaucoup sont partis la queue entre les pattes”, averti Simon Lévy.
Cinquante dollars américains par personne au départ est le prix fixé, comme l’expose Agnès Bensimon dans Histoire d’une émigration secrète. 500 000 dollars ont été directement versés à Hassan II à Genève, sous la couverture du HIAS, poursuit Robert Assaraf.
“Hassan baâ Lihoud bzraâ”, dit la rue marocaine en référence à un accord agricole passé avec les Etats-Unis – dirigés aussi par le lobby juif. Hassan II a-t-il vendu “ses” juifs ? Non! En fait Hassan II a vendu la Palestine aux juifs!
Au total, quelque 100 000 juifs sont partis entre 1961 et 1967, dont plus d’un tiers pour la seule année 1963.
A la suite de la Guerre des Six jours en 1967, le reste des juifs au Maroc prit panique en observant la réaction nationaliste fervente du peuples marocain. C’est aussi le temps du réveil du peupla marocain avec le boycottage des médecins, des commerçants et surtout des avocats juifs au Maroc. La lutte de la résistance contre l’occupation juive doit être totale ou pas! Le Maroc est aussi devenu une Palestine occupée… cette fois ci …par les juifs! »
/…./
La suite sur:
http://www.abbc.net/alaouites/hassan2/agent-du-mossad.htm
——————————————-
Avc ce carricature que vs avé fé croyé moi, vs exagéré plus ke le normal, l’ère des falsifications né plu présen hamdoulah.
On a assisté a des éléctions « clean ».
Et il été si facile pr eux, si il voulé falsifié de dire ke le taux de participation a dépassé les 60 ou les 50% come on avé labitude dentendre.
Le taux dabstention, été une premiere au Maroc depuis son indépendance, alor il vous prouve plein plein de chose, ok?
Et je madresse a cele kia la rage, sache Mlle ke le Maroc é en plein mouvement é en plein changement é mlsmnt on a pa la baguette magique pr ktu puisse voir vite fé ce ke tu ve voir au Maroc mais hamdoulah il ya d tré tré voir tro de changement, ok? Sur le plan politique é sur le plan économique é notre seul problem c de voir comen attirer lé jeune ver la politique pr aidé leur pays.
Et vous meme aidé votre pays é aréter de voir tt en noir com si il ya rien de bien, c honteu ce que vs dite.
En plus le Maroc é un pays ki na ni pétrole, ni gaz naturel ni rien du tt é il résiste a tt ces contraintes é en plus il a réussi a atiré d investissemnt incomparable (ni la tunisie, ni lalgérie, ni la jordanie, ni légypte, ni aucun pays africain na pu le faire)
Ouvré bien vos yeux é le changement comence par vs é au lieu de voir tt en noir, enjolivez votre vision é celui ki na pa voté il pe pa avoir la rage ni rien car il na mem pa participé a son droi constitionel. ET c tré honeteu
je vs di ca é moi jai 23ans é je vale mé mo é je repete une chose, on a di a lére de Makhzan adieu en 1999 alor révéillé vs.
Vive Le Maroc é Le Sahara é Marocain é le restera pr tjs é vive le Roi é ts lé Marocains.
Je pe versé mon sang si jamé klk touche a nimporte kel composant de mon pays ké le Maroc.
Voila pr moi le classement éalor touché jamé a ces principes qui sont lé mienne é ki son lé notre (les Marocains)
Dieu
Prohete
Maroc
Roi
Marocains
ces trop ce nombres de partie politique ……ces trop ce nombre des sindicat …..a rontabilitee nigligeable en comparison avec un pay develleper comme le japon
Le maroc n’a ni gaz ni pétrole ni idées…..mais il a les marocaines!
(Bon on y ajoutant,le phosphate,les milliards du cannabis,les milliards de l’aide humanitaire qu’il recoit chaque annee………ect…..).
Croyez moi,tout cela ne compte pas que pour du beurre,surtout de 1985 a 2005 ou le prix du baril de pétrole ne valait que des clopinettes!