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Maroc:Le Makhzen va faire exploser les ventes d’un produit

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Le Maroc va en avoir besoin ! C’est ce qui s’appelle créer le besoin. A défaut de créer de nouvelles idées, on peut commercialiser de bonnes recettes qui font passer plus facilement les anciennes !

Attention:Rupture de stock en vue




Maroc: Abdelhadi Alami : L’escrot de Marrakech

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Maroc: Abdelhadi Alami : L'escrot de Marrakech  dans La face cachée 1187516389_alami abedlhadi
Abdelhadi Alami Srifi est né en 1941 à Fès, Il est aujourd’hui le propriétaire du groupe Dounia Hôtels.

D’un père tisserand de Fès, il débute sa carrière en étant inspecteur des finances dans le secteur public, avant de démissionner suite au fameux scandale de l’ex ministre des finances Raghay. Il se lance dans le domaine du tourisme pour diriger la société Maroc Tourist du 1er septembre 1970 au 10 mars 1976. En 1976 il fonde son groupe Dounia Hôtels. On lui doit la réalisation du complexe du palais des Congrès de Marrakech. Et on lui reproche attentivement sa mauvaise gestion de complexe palais des congrès toute la longueur des 15 années d’exploitation d’un tel bijoux : résultat : trop de poursuites judiciaires à son encontre, la grande chaîne hôtelière allemande kempinski s’est fait volontairement agressé par Alami Abdelhadi et sa famille dans leurs fonds de caisse de plus de 3 milliards dans un cadre pourtant de redressement judiciaire ou tout le staff de contrôle de tribunal ( syndic, et juges…) gardait le silence. Aussi,Alami Abdelhadi Srifi a pu être la cause directe de la grande boucherie sociale que Marrakech a connu jusqu’à présent.Ecrivain sans plume à ses heures et patron de presse intérimaire, on lui reproche sa générosité trop investie dans des articles de presse d’autrui pour des éloges en sa faveur et à son parcours, allant même une fois dans une conférence de presse à Casablanca à gratifier les journalistes qui étaient présents de son chéquier personnel pour abondance de leurs encres le lendemain au profit de son bien être. Membre du Bureau Exécutif du RNI depuis 2002, il vient d’être expulsé du parti par Ahmed Osman qui lui reproche sa mauvaise conduite et politique personnelle trop égoïste pour atteindre à n’importe quel prix le ministère de tourisme.

Pour en savoir plus:Ici

« Investir au Maroc est une affaire dangereuse »

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L’aphorisme du jour

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« Il faut aller à la vérité avec toute son âme, il faut suivre le chemin le plus long. » Platon.




Maroc:Haj Thami L´Glaoui

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Qui est Glaoui? Maroc:Haj Thami L´Glaoui  dans La face cachée 1187485910_glaoui-pere1
Haj Thami L´Glaoui appartient au clan familial des Glaoui qui sont une « Dynastie » de caids qui a « régné » sur une partie plus ou moins étendue du sud du Maroc probablement depuis le début du XVIIIè siècle jusqu’en 1956.

La famille Glaoui construit sa réputation grâce au contrôle mafieux qu’elle exerçait sur la route qui lie Taroudant à Marrakech. Plusierurs tristement célébres « caïds » sont issus de cette famille. Le traître pacha de Marrakech, Thami Glaoui, s’illustre sous la colonisation par le soutien qu’il apporte à l´occupation étrangére de son pays. Il s’opposa à la résistance nationalistes et se ralia franchement aux occupants.

Madani Glaoui a été grand vizir (premier ministre) de Moulay Hafid depuis l’intronisation de celui-ci (dont Madani fut le principal artisan) en 1908 jusqu’à 1911.

Son cadet Thami – le père biologique de Hassan II – fut pacha de Marrakech (sorte de gouverneur sous l´autorité des occupants pour la moitié sud du Maroc) de 1912 jusqu’à l’ »indépendance ».

L’origine des Glaoui reste obscure; ils se sont même usurpé – comme les « alaouites » après coup, une ascendance « cherifienne »!

Thèse crédible : Fuyant les famines de l´AfriqueNoire l’ancêtre des Glaouis – comme celle de Ba Ahmed – se serait placé sous la protection d’un marabout local, aurait épousé la fille de ce dernier et hérité, à sa mort de sa « baraka » de la Zaouia et des biens affectés à son entretien notamment des salines sur l’oued Mellah. L’agurram (santon) devient ensuite amghar « Cheikh » (chef séculier désigné par ses contribules pour les representer auprès du Makhzen) et fait entériner sa position par Moulay Ismael qui le nomme à la tête des Glaoua (tribu du versant sud de l’Atlas) où il établit un souk (Khemis de Telouet) et un caravansérail. Il contrôle alors le passage des caravanes venant du Tafilalt et du Sahara (qui lui versent un droit de passage) et perçoit des taxes sur tous les produits vendus au souk et les revenus du caravanserail. En 1856 le commandement de ses successeurs est augmenté par Moulay Abderrahmane d’une tribu du versant nord de l’Atlas où il établit un second souk (El Had Zraqten, non loin de Telouet).

L’omnipotent Pacha El Glaoui Il a été bourreau des rebelles de l’Atlas, collaborateur de la France coloniale, ennemi juré des nationalistes et suppôt du sultan Fantoche Ben Arafa. Pure produit du système alaouite, il était tout cela à la fois dans le Makhzen à l’époque, mais comment y est-il parvenu ?

Les Glaoua, puissants guerriers – et comme les alaouites – bandits de grand chemin du Haouz, chefs de tribus Imzwarn, obtiennent de la France – avant même l’occupation – le statut de protégés. Après la destitution du sultan Abdelaziz, le caïd Madani El Glaoui (41 ans) est promu grand vizir, et son frère cadet Thami (28 ans) pacha de Marrakech.

Durant les premières années de la colonisation, le jeune Thami El Glaoui passe, aux yeux de Lyautey, pour le « pacificateur » des tribus rebelles du Sud. Il est le « dompteur » de dissidents comme El Hiba et l’auteur des campagnes décisives qui lui ont valu une série de médailles françaises qu’il arbore avec fierté et des dotations d’armes considérables. En 1918, alors que son frère meurt, Lyautey le nomme « chef de la famille », le réinstalle pacha de Marrakech et l’introduit auprès de personnalités françaises influentes, dont Philippe Pétain et Marcel Boussac. El Glaoui règne alors sur le Haouz. Telouet (jusqu’à Ouarzazate), est tenu par son neveu, le caïd Hammou. Après la mort de Hammou, en 1934, il y place son fils aîné, Brahim, né (justement) de sa concubine turque, Lalla Kamar Torkia. Entre temps, il sait se rendre utile, aux occupants, jusqu’au Rif, dépêchant en 1926 plus de 1000 soldats en expédition pour évincer Abdelkrim. Une année auparavant, rapporte Gavin Maxwell, il dira à Lyautey qui repart, « peu importe qui vous succédera, vous resterez toujours mon maître ». Il lui est reconnaissant, explique l’historien marocain, Kenbib, de « faire appel à lui pour faciliter la mise en place du protectorat et par là même conforter les structures traditionnelles du Makhzen » alaouite. Du statut de protégé des occupants, il devient – comme tout le makhzen alaouite – l’un des piliers de l’occupation coloniale.

Le butin de guerre d’El Glaoui provenant de ses pillages pendant ses attaques de »pacification » coloniales contre les tribus rebelles devient considérable. Le Glaoui devient alors un gros propriétaire terrien, avec le legs de dahirs (des lois) sultaniens et la bénédiction des occupants reconnaissant.

En véritable mafioso – bien avant qu’il devienne pacha, « personne ne pouvait vendre ses olives avant lui », rapporte Paul Pascon. Avec l’autorité sur la région et sur les terres Guich, il a multiplié les stratagèmes pour étendre son territoire : 5300 ha cédés par l’État à titre quasi gracieux, 5000 ha « extorqués » à son bras droit El Biaz à sa mort, des impôts dont il retenait une part régulière, des droits d’eau obtenus sans contre-partie, etc. Au bout du compte, rapporte Pascon, en 1929, son salaire ne représentait que 2% de ses revenus. « Il a monté son train de vie en tablant sur la permanence des revenus que lui rapporte l’exploitation intensive des tribus », note à l’époque le commandant Orthlieb. Le Glaoui devient actionnaire principal dans l’Omnium Nord Africain (ancêtre de l’ONA royale), mais aussi à la CTM. Dans le faste d’antan, raconte Mehdi Bennouna (fondateur de la MAP, cité par El Glaoui fils), « mon père a compté, à table, 17 plats pour chaque invité ». A l’époque, le sultan alaouite se contente d’apposer son sceau et signature sur les décisions des occupants, et le Pacha passe, au mieux, en ajoutant à sa signature: « le seigneur de l’Atlas » et, au pire, pour « le prédateur du Sud ».

El Glaoui aurait pu ne pas connaître une telle ascension si le caïd Mohamed Boucetta, son unique rival pour le pachalik de Marrakech, réputé plutôt vertueux, n’avait pas été assassiné en janvier 1920 par des hommes de main de Glaoui.

El Glaoui a également une identité de « grand bordelier » (expression de Charles André Julien et Jean Lacouture). Le titre, il le doit au quartier de maisons closes de Bab El Khemis à Marrakech qui contenait plus d’un millier de prostituées, dont il prélevait 25% des entrées. Pragmatique jusqu’au bout, le Glaoui.

Le fait que son beau père et grand vizir, El Mokri, lui ait signifié, lui « le serviteur du Makhzen », qu’il n’était plus le bienvenu au Palais l’aurait mis (subitement) en rogne. Enfin, le fait que le maréchal Juin l’ait « remonté contre le roi qui joue l’Istiqlal contre les serviteurs classiques du Makhzen » l’aurait convaincu de la nécessité de comploter contre lui (comme le fit son frère, Madani, contre le sultan Moulay Abdelaziz).

Outre ses actions dans le groupe de la presse de l’occupation Mass, le Glaoui entretenait moult journalistes étrangers à sa solde. Lorsqu’en 1932, Gustave Babin signe un brulôt qui le démasque, intitulé « Son excellence », il envoie un plaidoyer autant au sultan qu’au résident général pour s’en dédouaner.

El Glaoui se prend même pour le prince à la place du prince. Profitant de sa relation privilégiée avec Winston Churchill, il tente d’envoyer à la reine d’Angleterre un cadeau en émeraudes à l’occasion de son mariage en 1952, mais on lui fait savoir qu’il n’était pas un chef d’État. L’épisode, commente Kenbib, montre « la maladresse du pacha une fois sorti du pays ». Mais elle montre aussi la mobilité et la notoriété surdimensionnée du personnage. Lucide mais aussi rongé par un cancer de plus en plus déclaré, il comprend tardivement que la soumission inconditionnée au couple Juin-Guillaume, a été la mauvaise carte à jouer. Le résident général Grandval l’ignorant, Mendès France refusant de le recevoir, les libéraux (pour l’indépendance et le retour du roi) ayant de plus en plus d’appuis à Paris, El Glaoui devient en octobre 1955 « un anachronisme ».

26 octobre 1955. Les traîtres marionnettes du Makhzen se retrouvent et se réconcilient ! Rabat. El Glaoui se fait petit devant le conseil de régence. Quinze jours plus tard, il se prosterne devant le sultan revenu au château St Germain-en-Laye. Alors que le alem dissident, Kettani, n’est pas reçu, le pacha traître est absout. Il meurt peu après, comme si « sa vie s’est confondue avec celle du protectorat », commente judicieusement Kenbib.

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Pour savoir plus:Cliquez ici




Maroc:Le drapeau « alaouite » n’est pas marocain !

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Maroc:Le drapeau

La couleur rouge du drapeau Alaouite n’est pas – contrairement à ce que certains croient – une représentation du « sang versé par les Marocains », mais un symbole marquant le caractère sanguinaires des alaouite!

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A l’origine le drapeau actuel des alaouites était frappé d’une étoile juive à six branches. Drapeau du Maroc avant 1948.Cette photo du drapeau alaouite frappé d’une étoile juive de David est tiré d’un d’un vieux Larousse datant de 1938. Mais à partir de 1948, année de la création de l’Etat d’Israël, et pour le distinguer du drapeau israélien, une étoile à cinq branches a remplacé l’étoile de David. L’étoile à cinq branches, le pentagramme, ou pentacle, qui est aussi l’un des symbole du judaïsme et de la Franc-Maçonneri juive, est selon la tradition juive, le sceau du Diable

L’étoile de David était aussi sur les pièces de monnaies alaouites.

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Monnaie alaouite de 1868

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Monnaie alaouite de 1879

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Monnaie alaouite de 1921

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Monnaie alaouite de 1953

Pour en savoir plus :Cliquez ici

 

 




Maroc:Prise de têtes

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Maroc:Prise de têtes dans La face cachée 1187483780_prise de tete

 

 

 

Cette vue représente les remparts seignant de Bab Sidi Abdelouahab, bâtie au XIIIème siècle, où le Maghzen alaouite exposait les têtes des chef rebels qui lui avait… tenu tête.







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